LeTalentueux Mr Ripley Jusqu'oĂč iriez-vous pour ĂȘtre quelqu'un d'autre ? De : Anthony Minghella Avec : Matt Damon, Jude Law, Gwyneth Paltrow, Musique : Gabriel Yared Histoire : Italie, fin des annĂ©es cinquante. Le jeune Dickie Greenleaf mĂšne la dolce vita grĂące Ă  la fortune de son pĂšre, en compagnie de Marge Sherwood. Ellea eu d'autre part, la finesse de ne pas donner d'explication causale Ă  ses actes. Il ne tue pas pour telle ou telle raison, psychologique ou autre. Il tue. Nous regardons ses actions, comme on regarderait une riviĂšre qui coule. L'intĂ©ressant est que ce personnage, par le biais d'adaptations diverses au cinĂ©ma, a Ă©tĂ© envisagĂ© de diffĂ©rentes façons. L'interprĂ©tation la CaĂŻn(prononciation : [ka ɛ̃ ] ; hĂ©breu : Ś§Ś™ŚŸ QĂĄyin, arabe : Ù‚Ű§ŰšÙŠÙ„ QābÄ«l ) est un personnage du Livre de la GenĂšse (qui est le premier livre des cinq qui composent ce que le judaĂŻsme appelle Torah et ce que le christianisme appelle Pentateuque) et du Coran . Selon ces textes, CaĂŻn, fils aĂźnĂ© d' Adam et Ève, tue son frĂšre LeTalentueux Mr Ripley est de retour 23 ans aprĂšs la sortie du film. Mais cette fois-ci, c'est une sĂ©rie. Le Talentueux Mr Ripley, captivant roman de Patricia Highsmith qui a inspirĂ© le thriller du mĂȘme nom avec Matt Damon, Gwyneth Paltrow et Jude Law, sera bientĂŽt adaptĂ© en sĂ©rie TV. Critiquede par Anahane. The Talented Mr. Ripley obtient une moyenne de 6.5 Ă  l'heure oĂč j'Ă©cris ces mots, et comme toujours quand je trouve un film gĂ©nial, je me sens personnellement agressĂ©e par une note infĂ©rieure Ă  la Lire la critique. il y a 8 ans. ONSCHOOL MAGAZINE, le magazine Ă©ducatif des jeunes, dĂ©jĂ  en kiosque. Dans sa coutume d’assister les jeunes dans leur Ă©ducation et leur Ă©panouissement au quotidien, l’association BIFTY (Be Involved For The Youth) met sur pied un magazine Ă©ducatif mensuel au nom d’ON SCHOOLMAGAZINE.L’objectif principal est d’accompagner ces jeunes dans leurs activitĂ©s et LeTalentueux Mr. Ripley - Les Inrocks A la fin des annĂ©es 50, un jeune homme sans qualitĂ©, Tom Ripley, est chargĂ© par un constructeur de bateaux de ramener Ă  New York son fils Tobey (Jude Law, Dansles annĂ©es 1950, un jeune homme, Tom Ripley (Matt Damon), dĂ©sargentĂ© mais ambitieux, attire l’attention d’un vieil homme riche amĂ©ricain, Herbert Greenleaf, qui le ActualitĂ©sCinĂ©ma et TV : vidĂ©os, reportages, analyses et photos sur TF1 INFO. ï»żLa2e partie nous montre Ripley usĂ© de ses talents, mais en parallĂšle nous montre aussi qu'il n'est pas infaillible; Ă  plusieurs reprises il fera face Ă  ces contradictions qu'il devra gĂ©rer et sera EJoMK. Fiche identitĂ© Titre du livre Le talentueux M. Ripley Auteur Patricia Highsmith Nombre de pages 318 Édition Le livre de poche RĂ©sumĂ© Tom Ripley est contactĂ© par M. Greenleaf, un riche homme d’affaires. Ce dernier lui propose d’aller en Europe voir son fils Richard – pour qui il est une vague connaissance – afin de le convaincre de rentrer aux Etats-Unis. Tom arrive sur place et se lie d’amitiĂ© avec Dickie, mais un plan machiavĂ©lique commence Ă  se former dans sa tĂȘte. Avis Voici un livre qui se situe Ă  la frontiĂšre de plusieurs genres on le qualifie de roman policier mais je trouve qu’il tend plus sur l’analyse psychologique du principal personnage principal qui est Tom Ripley. Alors qui est-il et pourquoi daigner Ă  s’intĂ©resser Ă  lui pendant trois cent pages ? C’est un jeune homme fade qui vit de petites arnaques sans grande consĂ©quence. Sa rencontre avec M. Greenleaf va donner un nouvel essor Ă  sa vie un voyage tout frais payĂ© en Italie pour convaincre Dickie de revenir aux États-Unis. Tom essaie de gagner l’amitiĂ© de Dickie mais ces tentatives sont floues, empreintes parfois d’une pointe d’homosexualitĂ©. Marge, une amie de Dickie ne l’apprĂ©cie guĂšre. Finalement, les deux se dĂ©tachent lentement de lui. C’est ainsi que germe dans son esprit l’idĂ©e de tuer Dickie. On sent ici le poids d’une double personnalitĂ©. Être Dickie pour Tom c’est avoir de l’argent, de l’assurance dans ses maniĂšres, de l’arrogance, mener cette vie dorĂ©e dont il rĂȘvait tant en voyageant dans toute l’Europe. Redevenir Tom c’est ĂȘtre le petit gars effacĂ©, amer et sans le sou d’avant. Pourquoi donc ne pas dĂ©sirer ce changement quel que soit le risque Ă  courir ? A mes yeux, Tom est un personnage Ă©trange et troublant. Est-il aussi manipulateur qu’il le prĂ©tend ou bien les circonstances ont-ils jouĂ© en sa faveur ? Il y a eu quand mĂȘme deux ou trois dĂ©rapages qui ont failli le perdre, si ce n’est l’aveuglement et la stupiditĂ© de la police italienne, des amis et de la famille de Dickie. En somme je trouve que le mĂ©canisme qu’il a utilisĂ© est simple, dangereux mĂȘme et seule sa chance inouĂŻe l’a prĂ©servĂ©. Moi qui m’attendais Ă  un scĂ©nario incroyable, j’ai l’impression que la rĂ©putation de ce roman est un peu surfaite. Le style d’écriture est agrĂ©able mais il y a quand mĂȘme quelques longueurs qui viennent Ă©touffer le suspens. L’auteur Ă©tire au maximum son rĂ©cit, dĂ©veloppe de long en large la personnalitĂ© de Tom et ses actes et pensĂ©es mais c’est long. Bon, c’est une lecture moyenne, pas trĂšs palpitante. Bof, sans plus quoi ! Ville Ă©ternelle mais aussi ville d’eau, la capitale italienne ne compte pas moins de 2 000 fontaines ! CinĂ©gĂ©niques ou porte-bonheurs, nombre d’entre elles racontent aussi un pan de l’histoire romaine. Dans La Grande Bellezza de Paolo Sorrentino 2013, l’intrigue se noue autour du personnage de Jep Gambardella, critique d’art mondain, sĂ©ducteur et dĂ©sabusĂ©. Mais la poĂ©sie du film tient autant Ă  l’histoire qu’à son dĂ©cor Rome. La ville, personnage Ă  part entiĂšre, y apparaĂźt au premier plan – des rives du Tibre au pont Mazzini, d’un palazzo Ă©clairĂ© au chandelier en ruelles dĂ©sertĂ©es, de la grandeur du ColisĂ©e Ă  la ritournelle des fontaines
 Le film s’ouvre d’ailleurs sur un travelling solaire de la Fontana dell’Acqua Paola, via Garibaldi. Elle est l’une des 300 fontaines monuments de la ville – chiffre qui grimpe jusqu’à 2 000 si l’on compte les points d’eau plus modestes, en fonte, créés pour Ă©tancher la soif des citadins. C’est aux Romains de l’AntiquitĂ© - que les eaux du Tibre ne suffisaient pas Ă  rafraĂźchir - que revient l’idĂ©e d’installer des fontaines. Plus de trois siĂšcles avant l’homme d’État Appius Claudius Caecus construit le premier aqueduc qui amĂšne Ă  Rome les eaux de sources situĂ©es au-delĂ  de ses murs. Suit la mise en place d’un rĂ©seau d’aqueducs, puis des fontaines, pour finir d’acheminer l’eau aux habitants. L’histoire de la ville s’écrit ainsi au fil des fontaines – et l’on marche de l’une Ă  l’autre, cherchant la fraĂźcheur de la bruine. Cap sur la place de la RĂ©publique, au nord de la Gare Termini. La fontaine des NaĂŻades y a Ă©tĂ© construite en 1914 par l’architecte Mario Rutelli. Au centre, une statue de Glaucos, fils de PosĂ©idon semblant surgir des eaux. L’image est forte mais c’est aux quatre nymphes celle des fleuves, l’autre des lacs, la troisiĂšme des ocĂ©ans et enfin celle des eaux souterraines qui ornent le bassin Ă©rigĂ© Ă  la gloire de l’eau que l’on doit le nom de la fontaine. JĂ©rĂŽme Galland Symboles et allĂ©gories Toute proche, dans le prolongement de via Vittorio Emanuele Orlando, voici la monumentale fontaine dell’Acqua Felice 1585. L’édifice est une commande du pape Sixte V. Chacune de ses trois arches de pierre rappelle un Ă©pisode biblique. Plus loin, au carrefour de la via del Quirinale et de la via delle Quattro Fontane, une curiositĂ© apparaĂźt. Ce sont les Quattro Fontane, une fontaine qui est en fait
 quatre fontaines, stratĂ©giquement incrustĂ©es dans les bĂątiments aux quatre coins du carrefour, pour ne pas gĂȘner la circulation. Les hommes, allĂ©gories des fleuves du Tibre et de l’Arno d’un cĂŽtĂ© ; les femmes, reprĂ©sentations des dĂ©esses Junon et Diane, symboles de force et de fidĂ©litĂ©, de l’autre. Autre fontaine iconique de la ville, la baroque fontana Barcaccia surprend. Elle trĂŽne sur la place d’Espagne face Ă  l’escalier grandiose 174 marches ! qui conduit Ă  l’église de la TrinitĂ©-des-Monts. Sa construction a Ă©tĂ© confiĂ©e par le pape Urbain VIII au pĂšre de Gian Lorenzo Bernini, Pietro Bernini, entre 1627 et 1629. Au sujet de sa forme, celle d’une barque qui a pris l’eau, deux thĂšses s’opposent. Selon la premiĂšre, la sculpture aurait Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en mĂ©moire d’un bateau retrouvĂ© Ă  cet endroit prĂ©cis, lors de l’une des crues dĂ©vastatrices du Tibre. La seconde explication Ă©voque une construction en mĂ©moire des inondations de Rome. En 1598, l’une d’entre elles obligea le pape ClĂ©ment VIII Ă  traverser la place en barque. Les courbes baroques du bateau apparaissent sur grand Ă©cran en 1999, dans Le Talentueux Mr. Ripley, avec les acteurs Matt Damon et Jude Law. JĂ©rĂŽme Galland Trevi de Vacances romaines Ă  La Dolce Vita Et s’il ne devait rester qu’une fontaine Ă  Rome, qui incarne la ville et dĂ©place les foules ? Ce serait la fontaine de Trevi. Il faut aller au-delĂ  des foules pour en mesurer la beautĂ© trĂšs tĂŽt, ou au crĂ©puscule, quand tous sont partis aprĂšs avoir pris une photo et jetĂ© une piĂšce dans le bassin, honorant la tradition et promettant de revenir. Avant de devenir la fontaine la plus mythique de Rome, la fontaine de Trevi Ă©tait Ă  l’origine une petite fontaine qui accueillait les eaux de l’Aqua Virgo ou Aqua Vergine grĂące Ă  un aqueduc construit du temps de l’empereur Octave-Auguste, par Agrippa, en 19 avant Elle permettait d’alimenter en eau le quartier. C’est le pape Urbain VIII qui initia la construction d’une grande fontaine en faisant appel Ă  Bernini Le Bernin. Mais Ă  la mort du pape, le projet fut abandonnĂ©. Il aura fallu attendre le XVIIIĂšme siĂšcle, ainsi que l’intervention du pape ClĂ©ment XII et de l’architecte Nicolo Salvi pour en faire, de 1732 Ă  1751, le monument immense que l’on connaĂźt. En son milieu trĂŽne le dieu Neptune entourĂ© de chevaux marins et de deux autres statues, allĂ©gories de la BontĂ© et de l’Abondance. Aux cinĂ©philes, l’image de la fontaine de Trevi en fait surgir une autre celle d’Anita Ekberg s’y glissant tout habillĂ©e au clair de lune, face Ă  un Marcello Mastroianni charmĂ©. Cette scĂšne iconique de La Dolce Vita de Fellini 1960 achĂšve d’affirmer le potentiel romantique de la fontaine. En 1953, un autre fi lm prenait la fontaine de Trevi pour tĂ©moin Vacances romaines, oĂč Gregory Peck et Audrey Hepburn se rapprochent devant la Bocca della VeritĂ , la Bouche de la VĂ©ritĂ©. JĂ©rĂŽme Galland La balade au fil des fontaines romaines se termine sur la grandiose place Navone, dĂ©corĂ©e de trois d’entre elles. La fontaine du Maure, la Fontaine de Neptune et, la plus emblĂ©matique, la fontaine des Quatre-Fleuves Fontana dei Quattro Fumi. Construite en 1648, elle est aussi connue sous le nom de fontaine des Quatre-Continents - l’OcĂ©anie n’ayant pas encore Ă©tĂ© dĂ©couverte. Aux angles, les Ă©lĂšves du Bernin ont placĂ© des statues, allĂ©gories des quatre fleuves reprĂ©sentant chacun les quatre continents le Nil pour l’Afrique, le Danube pour l’Europe, le Gange pour l’Asie et le Rio de la Plata pour l’AmĂ©rique. Si, d’aprĂšs l’adage, tous les chemins mĂšnent Ă  Rome, les fontaines de la Ville Ă©ternelle dĂ©passent largement les frontiĂšres de l’Italie pour s’ouvrir sur le monde, entraĂźnant avec elles les Ăąmes voyageuses. Lloyd Ziff/Gallery Stock Sources de curiositĂ©s Aux fontaines classiques de Rome, ajouter celles que l’histoire n’a pas retenues. La fontaine des Tortues, de l’architecte Giacomo della Porta, Ă  la fin de la Renaissance, est attachĂ©e Ă  une lĂ©gende. Le duc Mattei, ruinĂ© aux jeux, ne pouvait plus Ă©pouser sa promise. Pour prouver sa valeur Ă  son futur beau-pĂšre rĂ©ticent, il fit Ă©riger la fontaine en une nuit. Au nombre des curiositĂ©s, il faut aussi compter la fontaine des Livres, proche de la place Navone. Les livres et l’eau ? DrĂŽle d’association. Sa proximitĂ© avec l’universitĂ© Sant’Ivo alla Sapienza peut-ĂȘtre
 Enfin, la fontaine del Babuino 1576 reprĂ©sente un silĂšne, ĂȘtre mythologique prenant la forme d’un vieillard rĂ©putĂ© pour son ivresse et sa laideur. Elle est surnommĂ©e “le Babouin” et est l’une des six “statues parlantes” de Rome - ces statues sur lesquelles les Romains avaient coutume de placarder des critiques et satires Ă  l’encontre du gouvernement. Un espace d’expression oĂč la pierre, recouverte de feuillets, devient support. Photographie de couverture RHIANNON TAYLOR News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage RĂ©compenses Films similaires note moyenne 3,5 6555 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur Le Talentueux M. Ripley ? 242 critiques spectateurs 5 36 critiques 4 96 critiques 3 56 critiques 2 33 critiques 1 11 critiques 0 10 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus rĂ©centes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s TrĂšs bon thriller dramatique d'Anthony Minghella qui a fait avec "Le Talentueux M. Ripley " une excellente rĂ©alisation et un scĂ©nario diaboliquement astucieux. Sur un fond de dĂ©cors naturels splendides d'Italie, cette histoire nous replonge dans les annĂ©es 50, Ă  Rome et Ă  San Remo avec un excellent univers musical de Jazz. Cette intensitĂ© dramatique d'amitiĂ©s ambigĂŒes est soutenue par un casting prestigieux, avec Gwyneth Paltrow qui assure le rĂŽle de Marge et une bonne prĂ©sence de Cate Blanchett, que l'on voit hĂ©las trop peu dans le rĂŽle de Meredit. Matt Damon assure brillement le rĂŽle principal de Tom Ripley ; quant Ă  Jude Law, il crĂšve l'Ă©cran dans la peau de Dickie le jeune et beau sĂ©ducteur Pitch Le richissime amĂ©ricain Herbert Greenleaf demande Ă  Tom Ripley de lui ramener son fils Dickie qui mĂšne la Dolce Vita en Italie avec Marge, sa petite amie. Matt Damon ! Es-ce que j'ai besoin de le prĂ©senter ? Il fait parti de ses acteurs de talents dont la seule prĂ©sence suffit pour savoir sur quel pied danser. En fonction de son jeu on peut savoir si ce sera un film d'action la saga Jason Bourne, un film plus dĂ©complexĂ© la saga des Ocean's, un drame plus ou moins familiale Au delĂ , Nouveau DĂ©part , une comĂ©die 2 en 1, un film plus touchant Will Hunting ou mĂȘme un thriller noir l'Agence, les InfiltrĂ©s. Ici on va parler d'un film qui entre dans la derniĂšre catĂ©gorie Ă  savoir le cultissime Talentueux M ce film est trĂšs bon de maniĂšre gĂ©nĂ©ral. La rĂ©alisation et la mise en scĂšne sont correctes dans le standard de l'Ă©poque. Il installe une trĂšs bonne ambiance de drame au dĂ©but, avec une trĂšs bonne photographie. Le paysage de San Reno est somptueux et le rĂ©alisateur installe une bien l'intrigue. Peut ĂȘtre un peu trop bien. En effet, l'exposition dure trop longtemp et le film s'Ă©tire beaucoup trop en longueur. J'ai eu la mĂȘme sensation que dans le film Drive. Sauf que dans ce dernier on avait Ryan Gosling qui Ă©tait prĂ©sentĂ© d'amblĂ© comme un anti-hĂ©ro. LĂ  on a Tom Ripley qui en apparence est une personne assez innocente et ingĂ©nue; dans le film, il n'a pas le mĂȘme impact sur le spectateur que Ryan dans Drive ce qui fait qu'au bout d'un moment, malgrĂ© le faite qu'on nous prĂ©sente bien l'univers de Dickie, on s'ennuie ferme. Cela aurait Ă©tait mieux que l'Univers de Dickie soit prĂ©sentĂ© en parallĂšle avec la dĂ©construction du personnage. Et on en vient Ă  la deuxiĂšme moment de la *rupture*, le film change complĂštement. On est plus dans une ambiance idillyque mais plus en thriller. Anthony Minghella exploite trĂšs bien cet Ă©tat de fait en donnant une ambiance plus sombre et fait tomber le masque de nos 2 personnages Ripley et Dickie, et cela marche plutĂŽt bien. Cependant, le cas de Dickie est beaucoup trop brutal au point qu'on se demande si on a pas changĂ© de film. L'auteur illustre en plusieurs plan la maniĂšre dont Ripley doit gĂ©rer l'absence de Dickie et la dĂ©construction du personnage est bien visible, alternant entre des plan sombres et lumineux. Cette partie est vraiment intĂ©ressante et superbement mis en musique, mais il dommage que la premiĂšre partie ne soit pas aussi les personnages principaux sont tous bien traitĂ©s, il n'en va pas de mĂȘme pour les personnages secondaires qui ne bĂ©nĂ©ficient pas du mĂȘme Ripley, Dickie Greenleaf et Marge Sherwood interprĂ©tĂ©s par Matt Damon, Jude Law et Gwyneth Paltrow sont tous les 3 bien exploitĂ©s. Tom Ripley et Dickie Greeleaf sont tous les 2 assez similaires. Chacun d'eux possĂšde un masque qui va se fissurer au fur et Ă  mesure du film. Tom Ripley dont la mission Ă©tait de ramener Dickie chez son pĂšre va se laisser sĂ©duire par Dickie, ou plutĂŽt par le style de vie de Dickie et va entretenir une relation assez ambiguĂ« ce dernier, entre bromance et homosexualitĂ© like. Mais quand il va commettre l'irrĂ©parable, il va user de tous ses talents et de sa personnalitĂ© apparente pour tenter de tromper son monde et le film avance en fonction de sa maniĂšre de gĂ©rer les consĂ©quences. Il va donc tomber dans une spirale qui lui semblera sans lui est un personnage exubĂ©rant aux antipodes de Tom. Plus libĂ©rer, il croit qu'il peut tout ce permettre et abuse de son entourage qui semble - t - il passe tous ces caprices mis Ă  par Fred, mais on y vient. Sa mort par Tom Ripley symbolise une rupture de ton dans le film et la destruction de son masque de gentillesse et de bienveillance. Marge est un peu en retrait par rapport Ă  Tom et Ripley et en un sens sert de faire valoir pour Dickie elle ne s'en cache mĂȘme pas c'est dire. Ceci dit, c'est la seule Ă  s’intĂ©resser Ă  Ripley en tant que tel Ă  plusieurs moment du rĂ©cit. Sa proximitĂ© avec Dickie et les errances de Tom font qu'elle sera la premiĂšre Ă  comprendre que quelque chose ne tourne pas rond avec Dickie. MĂȘme si cela n'est pas suivie d'effet En effet, elle a remarquĂ© les bagues de Dickie sur Tom alors que ce dernier n'est pas du genre Ă  les retirer. Par contre je ne comprends pas trop la relation qu'elle entretient Peter Smith-Kingsley, ce qui me permet d'enchaĂźner sur mon grand reproche au film, le traitement des personnages Freddie Miles jouĂ© par Philipp Seymour-Hoffman, ça va. Il est trĂšs bien traitĂ© comme personnage secondaire. Il est mĂȘme mon personnage prĂ©fĂ©rĂ© par son cotĂ© fun, sans gĂšne et lĂ©gĂšrement hypocrite. Il est mĂȘme le premier Ă  vraiment comprendre le sort de Dickie, car il est le seul Ă  le connaĂźtre trop bien mĂȘme si cela lui conduira Ă  sa perte.En revanche, Peter Smith-Kingsley jouĂ© par Jack Davenport lui je n'ai pas du tout compris son personnage. Il est quoi pour les autres ? D'un coup il semble ĂȘtre l'ami voir l'amant ce n'est pas prĂ©cisĂ© de Marge, d'un coup il est l'avocat de Tom, et d'un seul coup il entretient une forme de bromance avec Tom. Quoi ? Il est arrivĂ© dans la seconde partie d'un coup et ils se comporte comme un des personnages principaux ! Pour moi c'est l'un des bugs du film. En effet le film est situĂ© par du point de vue de Tom donc il est Ă©vident que beaucoup d'Ă©vĂ©nements se dĂ©roulent hors champ; sauf que pour ce personnage, ça ne marche pas. Les relations qu'il entretient avec les protagonistes sont assez ce n'est pas le pire. Le pire c'est Meredith Logue jouĂ©e par Cate Blanchett. A quoi elle sert dans le film ? On nous la prĂ©sente dĂšs le dĂ©but comme un personnage qui aura son rĂŽle Ă  jouer et puis d'un coup elle devient la love interest de Tom, sans que ce soit bien exploitĂ©. A quoi sa sert de la mettre en avant d'un coup si c'est pour l'oublier et nous la rappeler aprĂšs 1 h 30 de film oui je chronomĂštre. Et tout ça pour une love interest non exploitĂ©e ? Oui je sais, elle sert un temps soit peu d'alibi Ă  Tom qui se fait passer pour Dickie Ă  ce moment lĂ . Le problĂšme est que ça ne va pas plus loin et c'est de tout ça, la musique, la rĂ©alisation et l'histoire forme un tout globalement assez intĂ©ressant mais qui traĂźne trop en longueur. Ceci dit, l'histoire est particuliĂšrement bien racontĂ©e. Tout le film se construit autour de mystĂšre de Tom Ripley que les protagonistes au final ne le connaisse pas si bien que ça. La gentillesse et l'introversion de Tom forme un masque que les autres n'ont jamais cherchĂ© Ă  percer et qui se retourne contre eux. Bien que trĂšs lente, la premiĂšre partie montre en parallĂšle un petit peu les objectifs de Tom. En le faisant se rapprocher de plus en plus de Dickie, en le faisant essayer ses vĂȘtements, on le sentant Ă  l'aise dans son monde mais aussi en nous faisant connaĂźtre des talents d'acteurs et de faussaires hors paire. Dickie et Marge Ă©tait au courant de ses talents mais coincĂ©s dans leur tour d'ivoire n'ont rien vue venir. La 2e partie nous montre Ripley usĂ© de ses talents, mais en parallĂšle nous montre aussi qu'il n'est pas infaillible; Ă  plusieurs reprises il fera face Ă  ces contradictions qu'il devra gĂ©rer et sera prisonnier d'une spirale sans fin. Le dernier plan est Ă©difiant, il seul dans le noir avec tout le poid du monde sur ces Ă©paules. Ce serait intĂ©ressant de voir la suite mais, le rĂ©alisateur nous laisse un peu suggĂ©rer. Va - t - il continuer sa vie en continuant Ă  tromper son monde, tout en usant de tous les stratagĂšmes ou finira-t-il par craquer ? Bref, ce film est trĂšs intĂ©ressant et trĂšs beau visuellement. Il s'agit d'un bon thriller angoissant mais qui souffre de longueur au dĂ©but et du faite que certains personnages ne sont pas vraiment exploitĂ©s comme il fallait. Mais passĂ© une heure il est tout Ă  fait divertissant et nous montre qu'il ne faut surtout pas s'intĂ©resser plus Ă  la personne en lui-mĂȘme qu'au masque qu'il nous montre. En clair je suis Cosmic M et je me comporte en Cosmic M mais en rĂ©alitĂ© je suis... Le prince William Un thriller psychologique que j'ai beaucoup aimĂ©, dominĂ© par un Matt Damon trĂšs inquiĂ©tant. Le cadre - Venise, Rome des annĂ©es 50/60 - est trĂšs bien reconstituĂ© et apporte un cachet supplĂ©mentaire au film. Le scĂ©nario est trĂšs bon, et le tout est assez rythmĂ© pour qu'on ne voit pas le temps passer. La fin, ouverte, est elle aussi, brillante. Un trĂšs bon thriller psychologique oĂč Matt Damon offre une prestation assez inquiĂ©tante dans ce rĂŽle sombre. Par contre, j'ai Ă©tĂ© bien moins convaincu par Jude Law ou Gwyneth Paltrow. Superbe photographie au charme dĂ©suet. La question de l'acceptation de soi et de la recherche d'identitĂ© est abordĂ©e de façon intĂ©ressante. Mon problĂšme, c'est d'ĂȘtre un peu inculte. Du coup j'ai regardĂ© le film environ 2 mois aprĂšs Plein Soleil. Et forcĂ©ment, ça coince. Car le premier reste meilleur et que l'on se pose la question du pourquoi un remake? Ah oui les amĂ©ricains aiment les films jouĂ©s par des amĂ©ricains et ne connaissent sans doute pas le film de RenĂ© ClĂ©ment. Le problĂšme c'est que Plein Soleil n'a pas vieilli et que Delon est meilleur que Damon qui est vraiment lourdingue dans sa maniĂšre de jouer. Du coup je n'ai trouvĂ© aucun intĂ©rĂȘt au film. Un film tout simplement splendide.. Dans la mĂȘme verve que " Petits meurtre entres amis " pour le dĂ©lire obsessionnel, et tellement bien interprĂ©tĂ©.. A voir ; Tom Ripley est un petit prolo cultivĂ© qui dĂ©cide de s’immiscer de force dans le monde de Luxe et d’insouciance de Dicky Greenleaf. Il y prend tellement goĂ»t qu’il finit par se laisser quelques sĂ©quelles
 Vraiment sympathique ce film Ă  l’intrigue bien ficelĂ©e et qui tient en haleine jusqu’au bout. Un philip Seymour Hoffman excellent en rupin sybarite ». Anthony Minghella prend le parti de suivre un manipulateur assumant mal une homosexualitĂ© qui l'oblige Ă  porter des masques qui le pousseront , malgrĂ© lui, au crime. Il montre cette homosexualitĂ© plus clairement que ne pouvait le faire Patricia Highsmith en 1955. Le 1er meurtre est un crime passionnel Tom tue Dickie car ce dernier feint se moquer de ses sentiments amoureux. Dans "Plein soleil" , le meurtre a lieu dans un voilier, ici sur une simple et fragile barque . Les fragilitĂ©s narcissiques de Ripley sont ici abyssales. Les scĂšnes de fascination sexuelle sont clairement montrĂ©es, magnifiquement troublantes. Tom est un ado mal dĂ©grossi qui au contact des gens riches trouvera une assurance qui l'enfermera pourtant dans un piĂšge plus terrible que la conclusion policiĂšre voulue par RenĂ© ClĂ©ment. il est incroyablement humain, interprĂ©tĂ© avec une infinie dĂ©licatesse et profondeur par Matt Damon. il est intĂ©ressant de rapprocher ce rĂŽle de celui de l'amant attirĂ© par les strass de Liberace dans "Ma vie avec Liberace" . 14 ans plus tard, on y retrouve la mĂȘme subtilitĂ© de jeu encore plus maĂźtrisĂ©e. Jude Law, au sommet de sa beautĂ© insolente et de son talent, est plus Ă©poustouflant que Maurice Ronet il y a du Gatsby en lui . Les rĂŽles fĂ©minins plus dĂ©coratifs, sont malicieusement campĂ©es par des comĂ©diennes hors pair. Ces riches femmes semblent plus pour Tom un ascenseur social qu'un vĂ©ritable objet de dĂ©sir. Les moindres personnages sont jouĂ©s par une distributions 4 Ă©toiles. En fait, sous fond de lutte des classes, le film traite de l'ambivalence de chaque ĂȘtre, de ce que l'on cache Ă  la cave. il n'y a aucun manichĂ©isme. Le rĂ©cit est menĂ© avec fluiditĂ©. La musique de Gabriel Yared tisse une somptueuse toile jazz et sentimentale avec des volutes orientales. Le film est construit comme un serpent qui se mord la queue avec une voluptĂ© morbide. Le film est passionnant et bouleversant, sans nĂ©gliger le thriller menĂ© sans faux pas. Bref, et tant pis pour les puristes, je prĂ©fĂšre cette version plus psychanalytique, vĂ©nĂ©neuse... plus romanesque. A mon sens, ce chef d'oeuvre a Ă©tĂ© fort mal estimĂ© auprĂšs du grand public . Je voudrai rendre hommage a Anthony Minghella, qui rĂ©alise lĂ  une oeuvre de maturitĂ© aboutie, un montage et une rĂ©alisation exemplaire des sĂ©quences grĂące au fil conducteur des bandes musicales exemple= le concerto italien de Bach jouĂ© au piano par Matt Damon, puis repris en version jazzy.... Parmi les points que je retiens, il y a le quintĂ© d'acteurs hors pairs tous oscarisĂ©s ou oscarisables et leurs jeux respectifs admirable Matt Damon,Jude Law acteur fĂ©tiche, Philip Seymour Hoffmann, Gwyneth Paltrow , Cate Banchett, la photographie stylisĂ©e, la mise en scĂšne subtile donnant au scĂ©nario une tension dramatique allant crescendo au fil de l'intrigue, l'Ă©motion qui se dĂ©gage mais qui ne peut pas Ă  mon sens ĂȘtre perçue par tous du fait de l'homosexualitĂ© latente planant sur le noter sur le DVD une piste audio commentaire du metteur en scĂšne tout Ă  fait passionnante. J'ai adorĂ© ce film qui m'a donnĂ© envie de voir tous les films d'Anthony Minghella et son dĂ©part prĂ©maturĂ© m'a profondĂ©ment atristĂ©. Merci Anthony !!! Le Talentueux M. Ripley est un thriller efficace et bien foutu, je ne m'attendais vraiment pas Ă  cette histoire, je ne me suis absolument pas renseignĂ© dessus avant de le voir, je savais juste qu'il fallait que je le vois et vraiment surpris, bon c'est pas un film Ă©poustouflant mais il reste bien construit et prenant, faut dire que niveau casting ça envoi du lourd, Damon porte merveilleusement le film et la mise en scĂšne est trĂšs rĂ©ussie. A la fin des 50’s, le jeune Ripley est envoyĂ© des EU par le pĂšre de Dick Greenleaf pour convaincre son fils de revenir au pays. Ripley envieux de faire partie de ce monde de riches va tenter de prendre la place de celui qu’il doit de Plein Soleil » de RenĂ© ClĂ©ment et toujours tirĂ© du roman de Patricia Highsmith, ce film ne parviendra pas Ă  dĂ©trĂŽner la version française. D’accord, Minghella est plus proche du roman en abordant bille en tĂȘte l’ambigĂŒitĂ© sexuelle de Ripley. Mais lĂ  oĂč RenĂ© ClĂ©ment installait un climat pesant par des gros plans et huis clos terrible sur le yacht, Minghella dĂ©cide de nous faire le tour operator de l’Italie des 50’s. D’accord, les dĂ©cors sont idylliques et la dolce vita est perceptible, le swing vient s’ajouter Ă  l’image d’Epinal ; mais çà reste un Plein soleil » Ă  la sauce grand studio hollywoodien. En effet, lĂ  oĂč ClĂ©ment fait confiance Ă  l’intelligence du spectateur qui va dĂ©couvrir petit Ă  petit la complexitĂ© de la personnalitĂ© de Ripley ; Minghella use lui d’effets hyper appuyĂ©s et d’un scĂ©nario manquant clairement de subtilitĂ©. Ultra explicatif, le scĂ©nario tue le film dĂšs la mise en place. Celle-ci ne faisait pas parti du film de ClĂ©ment ; lĂ  on comprend tout de suite que Ripley est un usurpateur. Un film pour bouffeur de pop corn de fait ; pourquoi faire disparaitre si tĂŽt toute l’opacitĂ© du personnage. Et pour finir, Ă  vouloir rendre son Ripley trĂšs complexe dans un second temps, il nous perd carrĂ©ment en comprendrez que je vous conseillerais de voir plutĂŽt la version française de 1960. Le trio d’acteur de l’époque Delon-Ronet-LaforĂȘt Ă©crase complĂštement le casting trois Ă©toiles mais hyper fade de la version US. Seul Jude Law en dandy tire son Ă©pingle du jeu. Un mauvais film inintĂ©ressant Ă  mon goĂ»t et qui est en + scĂ©nario est mal inspirĂ©, je n' ai pas eu l' impression de voir en Ripley le talent auquel fait rĂ©fĂ©rence le titre mais plutĂŽt de la chance grossiĂšre dans la façon dont il s' en sort Ă  chaque fois qui est un peu trop facile voire mĂȘme qu' on s' attendait Ă  voir de l' aventure et Ă  des numĂ©ros bluffants, c' est un gros point + l' Ă©motion est absente et le jeu d' acteur de Matt Damon ne m' a encore une fois pas convaincusans compter que je ne suis pas fan de jazz mais ça.... Sans ĂȘtre un grand fan de minghella, le talent incroyable du cinĂ©aste repose Ă  faire de son exercice de commande un pure joyau bien supĂ©rieurau languide mais emouvant Patient Anglais. Il signe lĂ  l'un des meilleurs thriller amĂ©ricains derniĂšres pĂ©riodes, en tirant une rĂ©vĂšrence ambitieuse au cinĂ©ma Ă©lĂšgant et trĂ©s inspirĂ© de Manckiewicz et de Losey. La tenue est garantie, le paris atteint et le pĂąle et froid plein soleil est Ă©crasĂ© sans ĂȘtre oubliĂ©. Ce film extraordinairement sombre et pessimiste devrait en imposer encore pour longtemps si on aime le plaisir d'un cinĂ©ma psychologique Ă  l'anglaise, au style implaccalement britannique oĂč les artifices ont un sens. On ne voit pas le temps passĂ© dans ce film! Les Ă©vĂšnements s'enchainent bien. Matt Damon est vraiment extraordinaire dans ce film. Il part dans le mensonge et au final, on se rend compte qu'il ne peut plus faire machine arriĂšre... Une leçon de vie! Le Talentueux M. Ripley Un thriller dramatique des plus envoutant et habile. On va de surprise en surprise car, vers le milieu du film, il y a un point de non retour qui donne un suspense des plus haletants avec une certains tension et sueurs froids pour le personnage mais aussi pour le spectateur. Puisque pour la petite histoire, c’est un homme Matt Damon qui fait croire a un pĂšre qui connait bien son fils. Et le pĂšre va donc l’engagĂ© » pour que son fils revint a New York pour qui renoues les liens. Mais, Matt Damon va vite ce liĂ©e d’amitiĂ© avec le fils jusqu'au jour ou
 je vous laisse dĂ©couvrir ce qui se passe car ça serait vous gĂąchĂ© le film. Mais, il va y avoir un double jeu assez tendu et le suspense sera Ă  son maximum jusqu’a la fin. Donc voila, scĂ©nario bien ficelĂ©, avec des personnages bien travaillĂ©s car ils ont beaucoup de trĂšs de caractĂšres il y en a un qui a des tendances homosexuel
 Sinon, le film est assez Ă©lĂ©gant car il est portĂ© par des acteurs charismatiques et impeccables Matt Damon, Jude Law, Gwyneth Paltrow, Philip Seymour Hoffman, Cate Blanchett
 Et pour finir, la mise en scĂšne est des plus soignĂ©e et elle met bien en valeur les paysages comme Italie, Venise
 on se sent dĂ©paysĂ©. Donc voila, un film que je peux que vous conseillez. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse