JeanneMarie Leprince de Beaumont est l'auteur de grands classiques de la littérature pour enfants. Cultivée et sage, elle consacra une grande partie de sa vie à l'éducation des enfants de l'aristocratie anglaise. C'est pour eux qu'elle écrivit d'innombrables contes, dont " La Belle et la bête " est aujourd'hui le plus célèbre. Voici les 7 contes pour enfants classiques écrits par cet Lessolutions pour CHARLES DE BEAUMONT de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles. Outils Utiles . Wordle Mots Croisés Description Informations complémentaires. Expédition. Adrien de CHANTELOUP (1907-1988) Péniche au port. daté de 1950. Taille : 55 x 65 cm. avec cadre : 75 x 87 cm. Ref: XHC9GLUTLT. Retrouveztous les livres de l'auteur : Charles de Beaumont. Achetez parmi plus d'un million de livres - 3ème libraire en ligne - 367887 Toutesles oeuvresTout voir; Par musée (198 664) Musée Carnavalet, Histoire de Paris (42 856) Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris (42 449) Petit Palais, musée des Beaux-arts de la Ville de Paris (17 388) Maison de Victor Hugo - Hauteville House (9 938) Musée d’Art moderne de Paris (4 570) Musée de la Libération de Paris - musée du Général Leclerc - musée D7kJ. Âge du modèle 24 ans Huile sur toileH. 123 ; L. 95,5. Kassel, Kunstsammlungen Gemälde Gal. Inv. GK 1148 et Inv. N° L 91. Signature apocryphe 1705. Historique Paiement inscrit aux livres de comptes en 1703 pour 400 livres ms. 624, f° 21 v° M[onsieu]r le comte d’Évreux [rajout ] habillem[en]t répété » ; inscrit une seconde fois en 1705 pour la même somme ms. 624, f° 23 v° M[onsieu]r le comte d’Evreux [rajout ] Hab[illement] répété » ; Salon de 1704 Monsieur le comte d’Évreux » ; Paris, coll. Tondu ; sa vente, 10-15 avril 1865, lot 10 ; collection Lelong acquise pour 22 500 francs le 15 mai 1903 ; Rome, collection Busiri-Vici ; saisie du Reich, 1941 ; dépôt de l’Allemagne de l’Est à Kassel, 1966. Bibliographie Hulst/3, p. 186 ; Crayen, 1789, n° 42, p. 22 ; Guiffrey, 1869, p. 39 ; Jouin, 1878, p. 86 ; Roman, 1919, p. 101, 105, 106, 112, 113 ; Constans, 1995, II, p. 760, n° 4288 ; cat. Kassel [Schnackenburg], 1996, I, p. 250 ; ibid. II, p. 366 ; Perreau, 2004, p. 94, 112, 207, 219 ; Widauer, 2004, p. 195, cat. ; Rosenberg et Mandrella, 2005, n° 963, p. 166 ; Delaplanche, 2006, cat. p. 226 ; Marcheteau de Quincay, 2006, p. 21 ; James-Sarazin, 2009/1, n° 89, p. 152 ; Perreau, Le portrait du comte d’Évreux », [en ligne], 11 novembre 2010, ; James-Sarazin, 2011/2, n° 465, p. 55 ; Brême & Lanoe, 2013, p. 80 ; Perreau, 2013, cat. p. 177 ; James-Sarazin, 2016, II, cat. p. 280-281 et * p. 311 [association de la gravure de Schmidt et du dessin de Franckfort à un second portrait présentant de menues variantes]. Œuvres en rapport 1. Huile sur toile d’après Rigaud en buste. H. 75 ; L. 60. Versailles, musée national du château - MV3674, inv. 7 503, LP 628. Inscription LOUIS DE LA TOUR D AUVERGNE COMTE D’EVREUX ». Entré à Versailles sous Louis-Philippe. Voir Constans, 1995, II, p. 760, n°4288. 2. Huile sur toile d’après Rigaud. H. 117 ; L. 90. Version avec visage fortement repeint. Göteborg, kunstmuseum – Inv. Legs Kristina Nilsson 1922. 3. Huile sur toile d’après Rigaud. H. 116 ; L. 89. Château de Breteuil énormes repeints notamment sur le visage. Inscription erronée en haut à gauche concernant l’attribution CHARLES ACHILLES LE TONNELIER COMTE DE BRETEUIL / SEIGNEUR DE RUVILLE mort le 26 janvier 1708. » 4. Huile sur toile d’après Rigaud. H. 98 ; L. 78. Vente Paris, Hôtel Drouot, 2 novembre 1981, lot 115. 5. Huile sur toile d’après Rigaud. H. 118 ; L. 90. Ancienne collection de Mme C. Lelong ; Paris, Galerie G. Petit, Paris, 11-15 mai 1903 vendu comme Hyacinthe Rigaud ; vente Paris, Hôtel Drouot, 30 mars 1989, lot 31, Mobilier et objets d’art provenant de la Villa la Vigie » ; Vente Monaco, Christie’s, 9 décembre 2000, lot 382. 6. Huile sur toile d’après Rigaud. H. 135,6 ; L. 100,7. Vente Christie’s Londres, 22 avril 1998, lot. 252. 7. Huile sur toile d’après Rigaud [buste], H. 81 ; L. 65. Londres, Collection particulière inscr. Le Comte de Toulouse ». 8. Huile sur toile d’après Rigaud, H. 116 ; L. 88. Collection particulière vente Alcala Subastas, Madrid, 6 mai 2009, lot 74. 9. Huile sur toile d’après Rigaud, H. 117,5 ; L. 91 cm. Collection particulière coll. Princesse de la Tour d’Auvergne Lauraguais ; vente Londres, Sotheby’s, 3 mai 2012, lot 1. 10. Huile sur toile, suiveur de Rigaud avec rouleau de papier subtitué au bâton, H. 112 ; L. 86. Inscr. apocryphe Jacques Louis de Calonne Marquis de Courtebourne, Lieutenant Gal des Armées du Roy, Gouv. de Hedin, 1703 ». Collection particulière par desc. ; vente Paris, hôtel Drouot, Millon, 19 juin 2012, lot 134. 11. Huile sur toile d’après Rigaud [buste], H. 72 ; L. 57 cm. Maroc, Collection particulière vente Dijon, de Vregille et Bizouard, 6 juin 2009, lot 110. Identique à la version de Versailles MV3674. 12. Pierre noire et rehauts de blanc sur papier bleu, d’après Rigaud, H. 37,3 ; L. 29,1 cm. Vienne, Graphische Sammlung Albertina. Inv. 11921 ancienne collection Chabot ; coll. Mariette ; vente Basan, 1775, n° 1341 ; coll. Albert von Sachsen-Teschen. 13. Gravé par Johann-Georg Friedrich Schmidt en 1739, en contrepartie de la toile, figure jusqu’aux genoux. Le combat du lointain est de Joseph Parrocel. Les qualités du comte d’Evreux sont celles qu’il prenoit en 1739 ». H. 51,5 ; L. 37,4. En bas, la lettre suivante Louis de la Tour d’Auvergne Comte d’Evreux / Lieutenant général des armées du Roy, Colonel Général de la Cavalerie Française et Etrangère / Gouverneur de l’Isle de France, etc. / Présenté à Son Altesse Monseigneur le Comte d’Evreux, par son très humble et très obéissant serviteur Schmidt. » Sous le trait carré, respectivement à gauche et à droite Peint par Hyacinthe Rigaud Cher. de l’Ordre de St Michel – Gravé par Georges Frédéric Schmidt à Paris en 1739. » Voir cat. Exp. Rigaud intime, ed. La Célestina, 2009, n°89, p. 152. 14. Gravé par Pierre Adrien Le Beau en 1765. H. 17,6 ; L. 12,2. Dans un ovale à gauche. Le Buste seulement sans le décor de fond. Dans le socle au dessous, la lettre suivante LOUIS DE LA TOUR D'AUVERGNE / COMTE D'EVREUX / Lieutenant général des Armées du Roi, colonel Gé/néral de la Cavalerie Françoise et étrangère et, / Gouverneur de l'Isle de France. » Sous le trait carré Dessiné et gravé par Le Beau, graveur de Msgr le duc de Chartres / A Paris chez Esnauts et Rapilly rue Saint Jacques à la Ville de Coutances » 15. Huile sur toile d'après Rigaud, H. 118,5 ; L. 90. Vente Paris, hôtel Drouot, Europauction, 19 mai 2010, lot 2. 16. Huile sur toile d'après Rigaud atelier. H. 115,4 L. 89,5 cm. Inscription apocryphe sur la toile, en haut DONNE PAR MR LE COMTE D'EVREUX A MR LE MARQUIS DE CHAVAGNAC. EN. 1736 ». Ancienne collection du marquis Henri Louis de Chavagnac 1664-1743, chef d’escadre des armées navales et chevalier de l’ordre de Saint-Louis ; par descendance ; Vente Christie's, Paris, 25 avril 2018, lot. 73. 17. Miniature sur ivoire d'après Rigaud. H. 9,2 ; L. 6,6 cm. Varsovie, musée national. Inv. Copies et travaux 1703 Une [copie] de Mons[ieu]r le comte d’Evreux » pour 150 livres ms. 624, f°22. 1703 Leprieur passe huit jours au portrait de M[onsieu]r le C[on]te d'Évreux » et touche 50 livres ms. 625, f° 16. 1703 Leprieur touche 50 livres pour avoir habillé l’original de M[onsieu]r le comte d’Évreux » ms. 625, f° 18. 1703 Delaunay reçoit 8 livres pour Une [copie] du comte d’Evreux » 1703. 1704 Fontaine réalise une copie de M[onsieu]r le comte d’Evreux » pour 36 livres 1704. 1705 Bailleul passe six jours et demy au portrait de m[onsieu]r devreux » et touche 18 livres et 10 sols ms. 625, f° 19. 1705 Delaunay reçoit 30 livres pour avoir fait lhabit de m[onsieu]r le comte devreux » ms. 625, f° 19 v°. 1707 Monmorency réalise un dessein de m[onsieu]r le comte d’Évreux » contre 6 livres ms. 625, f° 22 v°. Descriptif Henri-Louis de la Tour d’Auvergne, comte d’Évreux 1679-1753 était le quatrième fils de Godefroy-Maurice de La Tour 1641-1721, duc de Bouillon, duc d’Albret et Pair de France 1652, duc de Château-Thierry et Pair de France, comte d’Auvergne, d’Évreux et de Beaumont-le-Roger, Vicomte de Turenne et Baron de La Tour, Grand Chambellan de France et de Marie-Anne Mancini 1649-1714, nièce du cardinal Mazarin. Né quatrième cadet de M. de Bouillon, avec une figure fort ordinaire et un esprit au-dessous, le jargon du monde et surtout celui des femmes, et tout ce qu'il avait en lui tourné à l’ambition, suppléa aux autres qualités, avec des vues et une certaine adresse »… ainsi le perfide Saint Simon décrit-il dès 1708 notre modèle. L’obtention par le duc, dès 1703, de la charge de colonel général de la cavalerie ce qui le motiva sans doute à solliciter Rigaud pour son portrait, avait déjà irrité le mémoraliste Avec un esprit médiocre, il savait tout faire valoir, et n’était pas moins occupé de sa maison que tous ses parents. Il en tirait fort peu, il n’avait qu’un nouveau et méchant petit régiment d’infanterie, il était assidu à la guerre et à la cour. Il savait se faire aimer. On était touché de le voir si mal à son aise, si reculé, si éloigné d’une meilleure fortune. Il s’attacha au comte de Toulouse cela plut au roi, de qui il tira quelquefois quelque argent pour lui aider à faire ses campagnes. Le comte de Toulouse prit de l’amitié pour lui, il en profita. Le roi fut bien aise d’acquérir à ce fils un ami considérable, et de lui en procurer d’autres par un coup de crédit, et cela valut au comte d’Évreux la charge de son oncle, qui par sa persévérance à la garder la conserva ainsi dans sa maison. Il la vendit six cent mille livres comme à un étranger il était mal dans ses affaires. La somme parut monstrueuse pour un cadet qui n’avait rien, et pour un effet de vingt mille livres de rente. Le cardinal de Bouillon lui donna cent mille francs ; M. le comte de Toulouse, qui lui avait fait donner l’agrément, s’intéressa pour lui faire trouver de l’argent, et il consomma promptement son affaire. Le roi voulut qu’il servît quelque temps de brigadier de cavalerie, avant que de faire aucune fonction de colonel général ; ce temps-là même fut encore abrégé par la même protection qui lui avait valu la charge. Il n’avait que vingt-cinq ans, n’avait servi que dans l’infanterie. Le roi était piqué contre le cardinal de Bouillon, contre le comte d’Auvergne, contre la fraîche désertion de son fils, contre le chevalier de Bouillon, de propos fort impertinents qu’il avait tenus ; et malgré tant de raisons, il fit en faveur du comte de Toulouse la faveur la plus signalée au comte d’Évreux, tandis qu’aucun des quatre fils de France n’aurait pas osé lui demander la moindre grâce pour personne, et que s’ils l’avaient hasardé, outre le refus certain, celui pour qui ils se seraient intéressés aurait été perdu sans ressources. » Notre modèle, épousera en 1707, Marie-Anne de Crozat 1695-1729 fille d’Antoine II de Crozat né en 1655, lui-même fils de Catherine de Saporta et d’Antoine I Crozat, banquier et prieur de la Bourse des marchands, un des premiers capitouls de la ville. Antoine II voir son portrait par Belle à Versailles avait épousé Marie-Marguerite Legendre d’Armeny, en 1690, fille d’un riche fermier général, avec laquelle il aura quatre enfants dont Marie-Anne. La dot, qui se monte à 1 500 000 livres, permet au comte et à la comtesse de faire construire un hôtel particulier en 1718. L’architecte Claude Mollet qui a vendu le terrain, réalise ce qui, plus tard, sera la demeure des présidents de la République française il s’agit de l’actuel palais de l’Elysée à Paris. Edifié et décoré entre 1718 et 1722, l’hôtel fut admiré comme la plus belle maison d’habitation des environs de Paris, selon l’architecte Blondel. Bien que le portrait conservé à Kassel semble être daté de 1705, date à laquelle les livres de comptes mentionnent un second portrait du comte pour 400 livres, nous pensons qu’il s’agit là d'un double emploi le première mention correspondant à la commande et la seconde au paiement final. L’attitude répétée d'après un modèle antérieur, fut réalisée par Leprieur. On la retrouvera notamment dans l'effigie du duc de Chaulnes en 1707. En 1739, le portrait fut gravé par Johann-Georg Friedrich Georg Friedrich Schmidt, en contrepartie de la toile figure jusqu’aux genoux. Le combat du lointain est de Joseph Parrocel. Les qualités du comte d’Evreux sont celles qu’il prenoit en 1739 ». Cette description de Hulst nous a donc permis de mettre un nom sur l’auteur du choc de cavalerie de l’arrière plan Joseph Parrocel 1646-1704, fidèle collaborateur de Rigaud. Cette superbe planche, exposée au Salon de 1742, semble être la première véritable collaboration entre le jeune graveur et Rigaud. Crayen, dans son catalogue raisonné de l’œuvre de feu George Frédéric Schmidt, nous a laissé un amusant témoignage sur la genèse de l’œuvre d’un jeune homme œuvrant encore chez Larmessin, et qui avait déjà transposé des pièces de Rigaud pour le fonds Odieuvre Law, Parrocel, Bignon…. Après avoir travaillé sept mois chez cet artiste [Larmessin], il résolut de s’établir & de travailler pour son compte. Dans cette position, il ne cherchoit à gagner exactement que ce qu’il lui falloit pour subsister ; il employois le reste du tems à se perfectionner dans son art & à lier connoissance avec les meilleurs artistes. Personne cependant ne s’interessoit plus vivement en faveur de Schmidt que le célèbre peintre Hyacinthe Rigaud qui donna en cette occasion une grande preuve de sa noble façon de penser, en comblant de bontés nôtre jeune artiste. Schmidt aiguillonné par la gloire, aspiroit de parvenir au même degré où d’autres grands artistes étoient parvenus & désiroit de donner au public quelques preuves de sa capacité. Il fit part de son projet à Rigaud, & le pria de le seconder. Rigaud aussi charmé qu’étonné de l’air résolu du jeune artiste, lui demanda s’il avoit les moyens d’entreprendre un ouvrage qui exigeoit beaucoup de tems ? Schmidt lui ayant répondu qu’il avoit pris ses mesures à cet égard, le peintre lui dit, en le frappant amicalement fur l’épaule 'Je remarque en vous ce feu que j’aime tant chez les jeunes gens. Voici un portrait dont l’original est encore vivant c’étoit celui du Comte d’Evreux. Déployez-y toutes vos forces, vous n’aurez pas sujet de vous en repentir, vous pouvez compter sur moi'. Schmidt grava donc ce portrait, & mérita par son travail l’approbation de Rigaud, ainsi que celle du Comte d’Evreux, dont il reçut un présent considérable, accompagné d’un remerciment obligeant. » Dans son catalogue de l’œuvre gravée d’après Rigaud déjà cité, Hulst avait prit soin de préciser que Schmidt entreprit cet ouvrage pour son propre compte, piqué par l’excellente beauté du tableau. Il étoit fort aise d’ailleurs de faire quelque morceaux de marque sous la conduite de Rigaud qui avoit un talent tout particulier à donner aux graveurs l’intelligence et le vrai goût de leur art. » Crayen insista sur le fait que dans les têtes gravées par Schmidt, soit d’après Rigaud & d’autres maîtres, soit d'après ses propres dessins, tout vrai connoisseur admirera toujours & l’intelligence ferme du peintre, & le contour énergique du dessinateur […]. Dans une épreuve [du portrait du comte d’Evreux], que nous avons devant nous, & sur laquelle tous les accessoires font terminés, sans qu’il ait encore touché au visage, prouve que notre artiste réservoit pour la fin cette partie essentielle d’un portrait. » Pour compléter l’iconographie de ce portrait, on citera la belle feuille dessinée, conservée à l’Albertina de Vienne Inv. 11921. dont les dimensions H. 37,3 ; L. 29,1 cm sont légèrement inférieures à celles de l’estampe de Schmidt H. 48,7 ; L. 32,4 cm. Mais son cadrage plus serré des personnages sont manquants, à gauche et le casque, à droite, jouxtant la bordure, pourrait s'expliquer par un recoupage de la feuille. Cette très belle pierre noire, agrémentée d’estompe et de rehauts de blanc sur papier bleu qui ne présente pas de mise au carreau pourrait tout aussi bien appartenir à cette série de dessins exécutés par ordre du maître et retouchées par lui, destinés à être vendus en tant qu'œuvre d'art. Anciennement dans la collection Chabot puis dans celle du célèbre graveur et historien de l’art Pierre-Jean Mariette 1694-1774, le dessin fut vendu par Pierre-François Basan entre le 15 novembre 1775 et le 30 janvier 1776 n°1341. Avec une autre feuille de l'artiste également à l’Albertina, l'œuvre rejoignit les collections du prince Albert Kasimir von Sachsen-Teschen 1738-1822, base du musée Autrichien. Résumés Un survol de la question de l’iconisation du Stryge de Notre-Dame, de sa réception, souvent par l’entremise de l’eau-forte de Charles Méryon ou par celle de la photographie de Charles Nègre, et de ses avatars iconographiques au Royaume-Uni et en Amérique. An overview of the iconization of the Stryge of Notre-Dame, its reception, often through the etching by Charles Meryon or through the photography by Charles Nègre, and its iconographic transformations in the United Kingdom and America. Es geht um einen Überblick über die Frage der Ikonisierung des Stryge von Notre-Dame, sei es durch die Radierung des Charles Méryon oder durch die Fotografie des Charles Nègre, eben sowie durch die ikonografischen Wandlungen der Figur in England und in den de page Notes 1 . La cathédrale a été conçue et largement construite par l’architecte américain Leon Coquard en 1895-1900 sur des plans inspirés par Saint-Denis. Faute de fonds, la façade, adaptée d’après celle de Notre-Dame de Paris, a été ajoutée plus tard, en 1908-1910 par un architecte local, David Davis. Voir Walter A. Fresberg, A Guide to the Cathedral, Covington, KY, Messenger Publishing Co., 1947 p. 10, 18-19, 23, 25 pour les chimères et gargouilles ; et Jim Reis, Pieces of the Past, Covington, KY., The Kentucky Post, 1988, p. 260-263. 2 . Frederick Rebsamen, Margot and the Gargoyle », The Kenyon Review, Gambier, Ohio, vol. 23, no 3, été 1961, p. 498-509, avec un dessin du Stryge par Evelyn Cooke à la p. 505. 3 . Pour Meryon, voir Adele M. Holcombe, Le Stryge de Notre-Dame Some Aspects of Meryon’s Symbolism », Art Journal, New York, vol. 31, no 2, hiver 1971-1972, p. 150-157. 4 . Michael Camille, The Gargoyles of Notre-Dame Medievalism and the Monsters of Modernity, Chicago, University of Chicago Press, 2009. 5 . Voir Le Sommet de la tour Notre-Dame ; clair de lune », repr. p. 337. 6 . Michael Camille, The Gargoyles of Notre-Dame, op. cit., ill. p. 18. 7 . Voir la notice de Fusco dans le cat. expo. The Romantics to Rodin, Los Angeles County Museum of Art, 1980, no 137, ill. 8 . Anonyme [Philippe Busoni ?], Salon de 1834 – Sculpture », L’Artiste, Paris, vol. VII, no 13 1834, p. 149-150. 9 . Peter Fusco, dans The Romantics to Rodin, op. cit., p. 266 The physiognomy of Satan – with hooked nose, thick brows extending over the nose, and horns protruding from the forehead – may be influenced by medieval gargoyle figures such as the one on Notre-Dame that was later recorded by Charles Meryon in his famous etching Le Stryge. » 10 . Pour les fresques voir Richard Offner, Klara Steinweg, A Critical and Historical Corpus of Florentine Painting. The Fourteenth Century, New York, The Institute of Fine Arts, New York University, IV, vol. VI Andrea Bonaiuti », 1979, p. 17-95, pl. III/19. 11 . Voir Eugène Viollet-le-Duc, Lettres d’Italie, 1836-1837, éd. Geneviève Viollet-le-Duc, Paris, Laget, 1971, p. 381. 12 . Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Paris, Hugues, 1882, ill. p. 143, 148. 13 . Concernant le Portrait présumé de Charles Nègre sur la tour sud de Notre-Dame, voir Eugenia Paris Janis, The Man on the Tower of Notre-Dame new Light on Henri Le Secq », Image, Rochester, New York, vol. 19, no 4, décembre 1976, p. 20. L’unique tirage ancien de la photo de Le Secq connu en France est reproduit dans Les Collections du Musée d’art moderne et contemporain de la ville de Strasbourg, Strasbourg, éditions des musées de Strasbourg, 2008, p. 25, ill. 14 . André Jammes, Charles Nègre, photographe, 1820-1880, Paris, 1963, repr. sur la couverture à l’envers et p. 10, 37 ; Beaumont Newhall, History of Photography, New York, Museum of Modern Art, 1964, p. 10, ill. 15 . Voir les cat. expo. Charles Meryon Prints & Drawings, Toledo Museum of Art, Toledo, Ohio, 1974, ill. p. 116 ; Charles Meryon Paris um 1850, Städelsches Kunstinstitut und Städtische Galerie, Frankfurt am Main, 1975, p. 145, no P1, et ill. p. 147. 16 . Michael Camille, The Gargoyles of Notre-Dame, op. cit., p. 224. 17 . Voir Eugenia Paris Janis, The Man on the Tower of Notre-Dame new Light on Henri Le Secq », op. cit., p. 24, note 4, qui mentionne un certain nombre de caricatures américaines des années 1970 liées au thème des gargouilles de Notre-Dame, dont une est reproduite dans Michael Camille, The Gargoyles of Notre-Dame, op. cit., p. 335. 18 . L’album, autrefois à la Newberry Library de Chicago, a été dispersé à la vente Sotheby’s, New York, le 26 avril 1990, no 5, ill. 19 . Voir Vincent Pomarède, étienne Moreau-Nélaton, Un collectionneur peintre ou un peintre collectionneur, Paris, association Moreau-Nélaton, 1988, p. 137-143, ill. Deux des tableaux ont paru à l’exposition De Corot aux impressionnistes, donation Moreau-Nélaton Grand Palais, Paris, 1991, no 446, ill. et no 447, ill. ; deux autres restent dans la famille et un cinquième, L’Ange Notre-Dame de Paris » le no 4 de l’exposition Bernheim est passé en vente sous le titre Vue de Paris des toits de Notre-Dame Paris, Binoche, Renaud-Giquelle & Assoc., 18 novembre 2008, no 87, ill. 20 . Musée du Louvre, département des arts graphiques, RF 3401. 21 . Voir sa Gargouille de Notre Dame, 1901, dans Exposition Tarkhoff et ses amis, Hiratsuka, Musée d’art, 1991, no 29, ill. ; Paris vu de Notre-Dame, vente Martin du Nord & de Bouvet, Paris, 9 mai 1993, no 82, ill. ; Les Gargouilles de Notre-Dame, vente Tajan, Paris, 8 juin 2004, no 44, ill. ; et la Gargouille sous la neige de l’exposition Nikolai Tarkhov 1871-1930, Galerie Tretiakov, Moscou, 2003, ill. dans Artkhronika, no 2, 2003, p. 119. 22 . Voir sa Vue de Paris depuis la balustrade de Notre-Dame, vente Sotheby’s, Londres, 16 novembre 1994, no 308, ill. 23 . Georges Redon, La Visite de Notre-Dame, vente Christie’s, Londres, 15 février 1991, no 4, ill. 24 . Hofbauer, affiche pour la revue Obrazakova Revue, vente Poster Auctions International, New York, 11 novembre 2007, no 336, ill. 25 . Ségolène Le Men, La Cathédrale illustrée de Hugo à Monet, Paris, CNRS, 1998, p. 165, fig. 44 ; voir aussi Jillian Taylor Lerner, A Devil’s-Eye View of Paris Gavarni’s Portrait of the Editor », Oxford Art Journal, Oxford, vol. 31, no 2, 2008, p. 235-250. 26 . A. Hyatt Mayor, Popular Prints of the Americas, New York, Crown Publishers, 1973, no 62, ill. 27 . Pour Dyson voir cat. expo. Will Dyson cartoons, caricatures and prints, 1880-1938, Bendigo Art Gallery, 1980, et Ross McMullen, Will Dyson Australia’s Radical Genius, Carlton North, Scribe Publications, 2006. 28 . Honoré Daumier, Histoire de tuer le temps, en attendant l’ouverture de l’exposition », Le Charivari, Paris, 15 mai 1855 Delteil 2709. 29 . Voir Théophile Alexandre Steinlen, Le Charpentier au-dessus du port, v. 1900, et Tu t’en iras les pieds devant, dans le cat. expo. Steinlen et l’époque 1900, dir. Claire Stoullig, Musée d’art et d’histoire, Genève, 1999, pl. 85 et fig. p. 115 ; voir également Théophile Alexandre Steinlen, Paris, 1897, Vision de Paris, 1898, et L’Aurore, 1903, dans le cat. expo. Théophile-Alexandre Steinlen, l’œil de la rue, dir. Philippe Kaenel, Musée cantonal des beaux-arts, Lausanne, 2008, fig. 59, 139 et 155. 30 . Albert J. George, Early America Criticism of Victor Hugo », The French Review, Champaign, vol. 11, no 4, février 1938, p. 287-293. 31 . Victor Hugo, The Hunchback of Notre-Dame, Philadelphie, Carey, Lea and Blanchard, 1834. 32 . Voir le cat. expo. Charles Meryon and Jean-Francois Millet Ethings of Urban and Rural France, dir. Patricia Fagan, Georgia Museum of Art, University of Georgia, Athens, GE, 1992, no 6, ill. 33 . Voir John Wilmerding, Winslow Homer, New York, Praeger, 1972, p. 50, fig. 2-33 ; pour une réfutation, voir Nicolai Cicovsky, Jr., Winslow Homer’s “Prisoners from the Front” », Metropolitan Museum Journal, New York, vol. 12, 1977, p. 166-167, note 45. 34 . Le tableau, intitulé Où diable l’amour va-t-il se nicher, semble perdu mais il est connu par une photo de Goupil et Cie, au Musée des beaux-arts du Canada ; voir James Borcoman, Charles Nègre, 1820-1889, cat. expo. Galerie nationale du Canada, Ottawa, 1976, no 202, ill. 35 . Russell Sturgis, Meryon and his Work », The Nation, New York, vol. XXVI, 20 juin 1878, p. 409 ; F. Wedmore, Meryon and Meryon’s Paris », Eclectic Magazine, New York, 29 aout 1878, p. 194-202, publié auparavant dans Nineteenth Century, Londres, vol. 3, mai 1878, p. 863-874. 36 . American Society of Painters in Water Colors, New York, cat. expo. New York, 1875, no 524 et 529, prêt de J. Holmes Maghee. 37 . Anon., American Art Chronicle / Museums and Collectors », The American Art Review, Boston, Mass., vol. I, no 5, mars 1880, p. 224. 38 . Anon. [Earl Shinn], Meryon’s Etchings », The Nation, New York, vol. XLII, 25 février 1886, p. 176 ; Mrs. Schuyler Van Rensselaer, American etchers […], To which is added an account of Meryon and his work, by Frederick Keppel, New York, F. Keppel, 1886. 39 . Museum of Fine Arts, Boston, Catalogue of the etched work of Charles Meryon, 1888. 40 . Second Black & White Exhibition – Etchings, cat. expo. Art Association of Montreal, 1888, no 157. 41 . William Aspenwall Bradley, Some Meryon Drawings in the Macgeorge Collection », The Print Collector’s Quarterly, Woodstock, vol. 7, 1917, p. 249, ill. p. 242 et 243. 42 . Louis H. Gibson, Gargoyles », Modern Art, Indianapolis, vol. I, no 4, automne 1893, ill. Sur Rogers, par la suite un des grands typographes américains, voir Frederic Warde, Bruce Rogers, Designer of Books, Cambridge, Mass., 1925, et le cat. expo. Bruce Rogers, Designer of Books, Minnesota Center for Books on Art, 2003. 43 . La gravure existe aussi dans un tirage de 36 exemplaires, sans texte, intitulés Le Stryge de Notre-Dame ; voir A. Lotz-Brissonneau, G. M. Texier Bernier et J. Lethève, Catalogue raisonné de l’œuvre gravé d’Auguste Lepère, 1849-1918, Dijon, Paris, 2002, p. 55, no 212, ill. Il est opportun de tirer au clair la question de la publication la gravure a paru dans l’article de Theodore Child, Paris along the Seine », Harper’s New Monthly Magazine, New York, vol. LXXXV, no 10, octobre 1892, p. 722-740, ill. p. 727. 44 . émile Goudeau, Paysages parisiens, heures et saisons, Paris, H. Beraldi, 1892, p. 131. 45 . Voir sa Vue de Paris, des gargouilles de Notre-Dame, dans la vente Ader-Tajan, Paris, 2 juillet 1991, no 145, ill. 46 . Sur ce projet voir Anne Cannon Palumbo, Joseph Pennell and the Landscape of Change, thèse de doctorat, University of Maryland, 1982, p. 223-229, 252. 47 . Le texte et les dessins ont été republiés par la suite dans une édition limitée The Devils of Notre-Dame, A Series of Eighteen Illustrations by J. Pennell, With Descriptive Text by R. A. M. Stevenson, Londres, Pall Mall Gazette, 1894. 48 . Voir Mahonri Sharp Young, The remarkable Joseph Pennell », The American Art Journal, vol. 2, no 1, printemps 1970, p. 88. 49 . Louis A. Wuerth, Catalogue of the Etchings of Joseph Pennell, Boston, Little, Brown & Co., 1928, no 207, ill. 50 . Voir Charles de Kay, The Quarterly Art A Rapid Survey », The Quarterly Illustrator, New York, vol. 2, no 6, avril-mai 1894, p. 201. 51 . Anon., The Academy, Londres, vol. 45, 3 février 1894, p. 110. 52 . Catalogue of a Collection of Water-Colour Drawings Illustrating Paris To-Day by J. Fulleylove, with a Note on Paris by Frederick Wedmore, Londres, 1894 ; pour le compte-rendu, voir The Academy, Londres, 10 mars 1894, p. 214 Since Meryon himself, no one, probably, has drawn “the Stryge” so powerfully as Mr. Fulleylove. » 53 . Joseph Pennell, Paris, cathédrale Notre-Dame le stryge, vampire, sur la façade principale, département des arts graphiques, musée du Louvre / musée d’Orsay, RF 39983, recto. 54 . Joseph Pennell, Diable de Notre-Dame Le Stryge, 1893, où il est inscrit dans une bordure Yet like the / Basilique / is fascinating »; voir vente anonyme, Dedham, MA, Grogan & Co., 18 octobre 2009, no 14, ill. Ce Stryge inédit est dessiné à l’envers, ce qui indiquait peut-être qu’il était destiné à être gravé sur bois. 55 . Aubrey Beardsley, A Devil of Notre-Dame Joseph Pennell Etching on the Tower, 1893, localisation inconnue. Pennell, qui tenait beaucoup au dessin, l’a publié en regard de son propre Stryge gravé, dans The Adventures of an Illustrator, Mostly in Following his Authors in America & Europe, Boston, Little, Brown, 1925, p. 219. 56 . Sur la séance de pose voir Beaumont Newhall, Frederick H. Evans, Rochester, George Eastman House, 1964, p. 10. 57 . Anna Fárávova, Frantisek Drtikol Photograph des Art Deco, Munich, 1986, p. 49, fig. 53, 51, ill. 58 . Gordon Payne, Mary at Notre-Dame, ill. sur la couverture de The Capilano Revue, no 44, 1987. 59 . T. A. Cook, Stories in Stone from Notre Dame », Scribner’s Magazine, New York, vol. XV, no 8, janvier 1894, p. 69-82, ill. p. 77. 60 . Alvin Langdon Coburn, Paris Rooftops from Notre-Dame », Karl Steinorth dir., Alvin Langdon Coburn photographs 1900-1920, Zurich, New York, Stemmle, 1998, p. 67, ill. 61 . Alvin Langdon Coburn, Fifth Avenue from the St. Regis », New York from its Pinacles », New York from its Pinacles » toutes de 1912, Alvin Langdon Coburn Photographer, dir. H. et A. Gernsheim, New York, F. A. Prager, 1966. 62 . Voir cat. expo. Joseph Pennell, 1857-1926 Stadtlandschaft und Industrie, Suermondt-Ludwig-Museum, Aix-la-Chapelle, 1995. 63 . Meir Wigoder, The “Solar Eye” of Vision Emergence of the Skyskraper-Viewer in the Discourse of Heights in New York City, 1890-1920 », Journal of the Society of Architectural Historians, Urbana, vol. 61, no 2, juin 2002, p. 152-169. 64 . Sur le contexte d’une des versions de la composition de Delaunay, au musée de Bâle, voir cat. expo. Robert Delaunay, Hommage à Blériot, Kunstmuseum Basel, 2008, no 11, ill. 65 . Charles Rambert, Grande Semaine d’Aviation / Rouen / du 19 au 26 juillet 1910, Fernand Boursier, Nantes Aviation / 14-21 / août / 1910, vente Naudet, Paris, Ader-Picard-Tajan, 2-3 juillet 1984, no 291, ill., 303, ill. Sur l’affiche de M. Dessoures, Grande semaine d’Aviation / Caen / Du 27 juillet au 2 août 1910, voir la vente Swann Galleries, New York, 15 décembre 2005, no 151. 66 . Voir la légende d’Erwin von Steinbach à la cathédrale de Strasbourg, peinte par Moritz von Schwind Schack-Galerie, Munich et Gustave Doré Le Sculpteur, musée municipal, Arnhem, ou Der Turmer Le guetteur » peint par Ludwig Schnorr von Carolsfeld Museum George Schäfer, Schweinfurt, Edward Jakob von Steinle Schack-Galerie, Munich, et Heinrich Schwemminger vente Sotheby’s, Londres, 20 mars 1984, no 375, ill. 67 . Publiée dans Life Magazine, juillet 1996, p. 29. 68 . Voir Karl Steinorth dir., Alvin Langdon Coburn, op. cit., ill. couverture, dernier plat. 69 . Mary V. Jessup Hood et Robert Bartlett Haas, Eadweard Muybridge’s Yosemite Valley Photographs, 1867-1887 », California Historical Society Quarterly, San Francisco, Ca., vol. 42, no 1, mars 1963, p. 5-26, ill. p. 16-17. 70 . Voir, par exemple, la photo de William J. Carpenter du début du XXe siècle, The Scouts », dans la vente Swann Gallery, New York, 9 décembre 2003, no 426. Pour la publicité, voir Peter J. Blogett, Visiting “The Realm of Wonder”, Yosemite and the Business of Tourism, 1855-1916 », California History, San Francisco, Ca., vol. 69, no 2, été 1999, p. 118-133, ill. p. 119, 129. 71 . Vente Sotheby’s, New York, 27 avril 2006, no 153, ill. 72 . Duane Michals, Album The Portraits of Duane Michals, 1958-1988, Pasadena, Twelvetrees Press, 1988, ill. ; pour la photo de Newton, voir A. M. Homes, The Eye of Newton », Vanity Fair, New York, novembre 1999, p. 255, ill. 73 . Vente Windsor, les mythes d’un mythe », L’œil, Paris, no 493, février 1998, p. 96, ill. ; une autre version est reproduite dans Cecil Beaton, Self-Portrait with Friends, dir. Richard Buckle, Harmondsworth, Penguin Books, 1982, ill. p. 84-85. 74 . Largement diffusée, la photographie a d’abord paru sur la couverture du Mid-Week Pictorial, supplément du New York Times, New York, 1er juillet 1920. 75 . Voir Frank Rinder, D. Y. Cameron, An Illustrated Catalogue of his Etchings and Dry-Points, 1887-1932, Glasgow, Jackson, Wylie & Co., 1932, p. 129-130, no 284 The Gargoyles, Stirling Castle, p. 221-222, no 401 The Little Devil of Florence ; p. 233-234, no 415 The Chimera of Amiens ; et p. 233-234, no 416 The Wingless Chimera, tous ill. 76 . Voir le catalogue de l’exposition Charles Meryon – David Young Cameron, Musée d’art et d’histoire, Genève, 1981. 77 . Campbell Fine Art, Londres, British & European Prints 18th-20th Centuries, Catalogue No. 3, 1991, no 320, ill. 78 . Ibid., Catalogue No. 9, 2001, no 344, ill. L’usine ressemble à la centrale électrique Battersea, qui ne sera toutefois édifiée qu’en 1929-1933 selon les plans de l’architecte Gilbert Scott. 79 . Commandée pour illustrer l’article de Rosny, Nihilists of Paris », Harper’s New Monthly Magazine, New York, vol. LXXXIIL, no CCCCXCV, août 1891, ill. p. 433. 80 . Voir Vaclav Rytir, T. F. Šimon. Ex libris ; popisný seznam, Prague, Hollar, 1932 ; et Arthur Novák, Kronika Grafického dila T. F. Šimona, Prague, Hollar, 1937, no 569 et 570. Familier des cathédrales, Šimon a gravé en plus de nombreuses vues de Notre-Dame des vues de Chartres, Rouen et Reims, en 1919, après les bombardements. 81 . Ibid., no 238 et 327. 82 . Pařížské Motivy. Text a litografie T. F. Šimona, 1937, publié comme supplément pour le périodique Hollar. Ctvrtletni periodicky Sbornik umeni grafického dirigé par Arthur Novák, vol. XIII, no 2, 1937. Catalogué dans Arthur Novák, Kronika Grafického dila T. F. Šimona, op. cit., no 626k. 83 . Retenons de la littérature sur Arms les articles de Gabriel P. Weisberg, Twentieth-century Gothic John Taylor Arms », ARTnews, New York, vol. 75, no 3, mars 1976, p. 58-59, et S. William Pelletier, The Gargoyle Images of John Taylor Arms », Print Quarterly, Londres, vol. VII, no 3, septembre 1990, p. 292-303. 84 . Une épreuve sur soie du Stryge de Danse se trouve à l’université de Liège, inv. 27772. 85 . Pour Willson, voir le site électronique Art of the print consulté le 6 août 2010 ; url 86 . Pour Kubo voir le catalogue en ligne de la Galleria Grafica, Tokyo consulté le 6 août 2010 ; url 87 . Pour l’édifice Chrysler, voir Johann N. Schmidt, William Van Alen’s das Chrysler Building die Inszenierung eines Wolkenkrantzers, Frankfurt-am-Mein, 1995. 88 . Margaret Bourke-White, Gargoyle, Chrysler Building. Pour une ill. voir Jonathan Silverman éd., For the World to See The Life of Margaret Bourke-White, New York, Viking Press, 1988, p. 58. 89 . La photo de Sherril Schell v. 1930, est reproduite dans New York / 400, éd. John Thorn et Melanie Bower, New York, 2009, p. 343 ; pour Hesse, voir [Anonyme], Some Photographic Masterpieces », The Studio, vol. 105, no 470, février 1933, p. 101, ill. 90 . Graubner, Margaret Bourke White atop Chrysler Building, 1934 ; pour une ill. voir Sean Callahan éd., The Photographs of Margaret Bourke-White, New York, Graphic Society, p. 12. 91 . William van Alen, Maintenance Men on the Steel Eagle Gargoyle of the Chrysler Building v. 1934, dans Alastair Duncan, American Art Deco, New York, 1986, p. 193, ill. 92 . Annie Leibovitz, “Panoramic Parsons” David Parsons perched on the Chrysler Building », Vanity Fair, New York, février 1993, ill. p. 139-140. 93 . Pour les prises de vue, voir Vicky Goldberg, An Icon Maker for Excessive Times », The New York Times, New York, 8 septembre 1991 section Art », p. 43. 94 . Arthur Bartlett Murice, Notre-Dame in Literature », Art & Life, Boston, Mass., vol. 11, no 4, octobre 1919, p. 216, ill. 95 . A. L. Guérard, The Teaching of French Civilization », The Modern Language Journal, Madison, Wis., vol. VII, no 5, février 1923, p. 259-260. 96 . Voir la publicité pour France Télécom, à nous Paris, Paris, no 68, 13-19 novembre 2000, p. 9, aimablement communiquée par Ségolène Le Men ; et le dessin de Greg Clarke pour le compte-rendu de Caroline Weber du livre d’Andrew Hussey, Paris The Secret History, dans The New York Times Book Review, New York, 4 février 2007. 97 . Voir le dessin de Donald David commandé pour illustrer un compte-rendu du livre de Richard Sennett, The Design and Social Life of Cities, dans The New York Times Book Review, New York, 2 mars de page Table des illustrations Titre Ill. 1 Andrea da Firenze Andrea Bonaiuto 1343-1377, Démon de la fresque murale de la Chapelle des Espagnols, Santa Maria Novella, Florence, c. 1366-1368 Crédits Cl. Michael Pantazzi. URL Fichier image/jpeg, 4,9M Titre Ill. 2 Will Dyson 1880-1938, The Devil and New York Légende “Well, well, well ! one lives and learns, one lives and learns” [Le Diable et New York Allons, allons ! on vit et on apprend, on vit et on apprend ».], c. 1930, pointe sèche, coll. part Crédits Cl. Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa. URL Fichier image/jpeg, 4,3M Titre Ill. 14 Théophile Alexandre Steinlen 1859-1923, Sans titre [Le Balcon], 1888 Légende Lithographie, collection particulière Crédits Cl. Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa. URL Fichier image/png, 6,8M Titre Ill. 3 Charles Nègre 1820-1880, Le Stryge, 1853 Légende Épreuve sur papier salé à partir d'un négatif papier ciré sec, 32,5 x 23 cm. Crédits © RMN Musée d’Orsay. URL Fichier image/jpeg, 4,0M Titre Ill. 15 Auguste Lepère 1849-1918, Le Stryge de Notre-Dame, 1890 Légende Gravure sur bois, tiré du Harper’s Magazine, octobre 1892, p. 727, Bibliothèque-Archive du Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa Crédits Cl. Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa. URL Fichier image/jpeg, 5,5M Titre Ill. 16 Joseph Pennell 1857-1926, Le Stryge, 1853 Légende Eau-forte, coll. part Crédits Cl. Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa. URL Fichier image/png, 10M Titre Ill. 17 Joseph Pennell 1857-1926, Autoportrait-charge de l’artiste, dessinant du haut de Notre-Dame, 1893 Légende Plume et encre, sur la page d’une lettre à Helen Robbins, décembre 1893, tiré d’Elizabeth Robins Pennell, The Life and Letters of Joseph Pennell, Boston, Little, Brown & Co., 1929, Bibliothèque-Archives du Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa URL Fichier image/jpeg, 1,1M Titre Ill. 18 Gertrude Käsebier 1852-1934, The Gargoyle, v. 1900 Légende Épreuve sur papier au platine, collection particulière Crédits Cl. Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa. URL Fichier image/png, 12M Titre Ill. 19 Anonyme, Helen Bonham, Miss Wyoming », à cheval sur le toit de l’Hotel McAlpine, New York 1920 Légende Tiré de la revue Saturday Night, Toronto, 10 juillet 1920, Bibliothèque - Archives du Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa Crédits Cl. Musée des Beaux-Arts de Canada, Ottawa. URL Fichier image/png, 5,4M Titre Ill. 20 Donald David, Sans titre, 1991 Légende Illustration pour le compte-rendu du livre de Richard Sennett, The Design and Social Life of Cities, dans la revue The New York Times Book Review, New York, 2 mars 1991. URL Fichier image/jpeg, 443k Haut de page Pour citer cet article Référence papier Michael Pantazzi, Du stryge au gratte-ciel », Livraisons de l'histoire de l'architecture, 20 2010, 91-112. Référence électronique Michael Pantazzi, Du stryge au gratte-ciel », Livraisons de l'histoire de l'architecture [En ligne], 20 2010, mis en ligne le 10 décembre 2012, consulté le 28 août 2022. URL ; DOI de page C’est une tradition vieille de 29 ans, le jour de la reconnaissance de Paris-Roubaix, il est impératif de partir le ventre plein. Le rendez-vous est fixé à Troisvilles, à l’entrée du premier secteur pavé, ou rillettes et omelette au Maroilles font le bonheur de l’assemblée. ** ****** ** ********* ************* ** ********* ** ***** **** ********** ** ** ************** ************** *** ******* ** ***** ** ** ***** ******* *********** **** *** ********* ****** ** ************* ******* ****** *** ***** ******** ** ****** ** ******** **** *********** ** ***** ******* ** ************ ** * * ** **** *** ************* ** ** ****** ******** ********** ** ***** ** *** *************** *** ********* ****** ** ***** **** ***** ** ******** *** ****** ******** ********** * * ** *** *** ** ****** ***** *** ******************** ******* ** ************ ************ ** ******* *** ****** *** **** **** *** *** ************* **** ******* **** **** *** ********* ******* ** ********* *** ************ ** ** ************ *** ***** ** *** ******* ********** ****** ** ******* ****** ******* ** ******* **** *** ******** ***** ** *********************** **** ** ******** ********** * ****** ** ****** *** ******** ** ********* *** ********* **** **** ** ****** ** ** ****** ****** ********** ******* *************** ****** ********** *********** ** ** ****** ************* ****** *********** *** ****** *** ****** ** *********** ***** ********** **** ** ** ******* ** ******* ****** ****** *** **** ** ********* ****** ********** ******** ** ************ *** ******** ****** ********************* **** ***** ****** ******* ** *** ****** ********** *** ********** ********** ********* *** *************** **** *********** ******** ** ***** ** ***** ****** ** ******** ** *** *************** *** ****** *** *** ************ ******** **** ** ******* ******* ** ** ******* ********** ********* ******* ***** ************ *********** ** *********** ******** *********** *************** **** * * ******** **** ******** **** ****** ** ******** ************** ******* ******** ** ******* *********** ********** ** ******** ********** *********** ** ** ****** ******* ************* ************* **** ***** ** ************ ** ********** **************** ***** ** ******** ****** ** ****** ***** ** ****** ** *********** ********** **** *** **** ******* ** *********** ** ******* * **** ** ********** ***** ********** ** ************* ** ***** ** ****** ******** ** ****** ****** ***** **** *** ************* ** ******* ****** ** ********** ** ** ****** ** *** *** ** ******* ** *********** ** ****** ******** *********** **** ***** ********** ** ************* ****** ** ****** ** ******* ********** ** ******* ***** ** ** **** ********* *** ** ****** ** *** ****** ** * ***** ******** ****** *** ******** ******* ** ******* ************ *** *** ****** ** ****** ** ********** ******** *** ** ******** ** ******** ******** ** ******* ***** ********** **** ********** ** ******* ********* *** *** ******** ** ********** **************** ** ******* **** ** ****** ************** ***** *** ******* ********** *********** ** ** ************ *** *************** ********** ********* ********** **** ********** * * *** ********** ***** ** ********** ** ** ******** *** ****** ********** ***** ******** **** *********** **** ******* ** *** ** ***** *** ******** ************** ******* *** ************ ** ****** *** **** ** ************ ** ****** *** **** ***** **** ******* ***** *** *** **** ********* *** ********* ** *** ************** ***** ******* ***** ****** ** ******* ** ************ ** ******* ** ******* ** ****** ** ****** ** ********* ** ************ *************** *** ****** ********* *** **** *** ****** ********* *** ** ************ ** ********************* ****** ******* ********* ********* ********* **** **** ******* **********