DĂ©couvrezLe Rapport De La Cia - Comment Sera Le Monde En 2020 ? de Alexandre Adler d'occasion en trĂšs bon Ă©tat | Toutes ses parutions Ă  petit prix | Livraison Gratuite dĂšs 25€ d'achat . Continuer mes achats Livraison en point relais offerte dĂšs 25€ VOIR MON PANIER 0.00 € 03 20 83 10 39; contact@bouquineriedusart.com; Livraison offerte en point relais dĂšs 25€ d'achats Ainsila lettre du petit-fils de Ben Laden Ă  sa famille proclamant l'instauration d'un nouveau califat ou le dialogue sous forme de SMS entre trafiquants d'armes nuclĂ©aires et chimiques Ce rapport, Ă©crit par vingt-cinq experts internationaux sur la base de donnĂ©es jusqu'ici secrĂštes, nous dit comment sera la monde en 2020. 14h07 "Etre le leader du monde, c'est ĂȘtre le leader de la paix": s'exprimant en anglais devant l'ensemble du CongrĂšs amĂ©ricain, le prĂ©sident ukrainien Volodymyr Zelensky a SenseAgency vous aide Ă  trouver un confĂ©rencier en un temps record sur toutes thĂ©matiques : motivation, sport, philosophie, Ă©conomie, digital, management, santĂ©, cybercriminalitĂ©. Remplissez notre formulaire de contact ou appelez l’agence au 06 88 09 09 79. Cequi est trĂšs interpelant, c’est que, dans ce dernier rapport, la CIA n’imagine mĂȘme pas que les USA risquent de se voir dĂ©trĂŽnĂ©s de la premiĂšre place Ă©conomique dans le Lecamp des Milles Ă©tait un camp d'internement et de dĂ©portation français, ouvert en septembre 1939, dans une usine dĂ©saffectĂ©e, une tuilerie, au hameau des Milles sur le territoire de la commune d'Aix-en-Provence (Bouches-du-RhĂŽne).. Entre 1939 et 1942, il a connu l'internement d’étrangers et de rĂ©sistants de 39 nationalitĂ©s pour devenir finalement une antichambre Lerapport de la cia ; comment sera le monde en 2020 ? Auteur(s) : Alexandre Adler. RĂ©sumĂ©. Ce document est exceptionnel, unique mĂȘme. Pour la premiĂšre fois, le public a accĂšs aux recherches et aux analyses des meilleurs gĂ©opoliticiens de la CIA. Quelle sera la carte du monde dans dix ans ? dans trente ans ? Quelle sera l'issue de la guerre mondiale diffuse que Le2 mai 2022, la direction de la Biblioth{\`e}que nationale de France a mis en place une nouvelle proc{\'e}dure de mise {\`a} disposition des documents qui, en privil{\'e}giant la r{\'e}servation et en restreignant les horaires de communication directe, les rend bien plus difficiles d{\textquoteright}acc{\`e}s. Nous sommes de vrais populistes, nous sommes avec le peuple, » Alexandre Adler, Le Monde, 23 novembre 2000. « ChĂĄvez le populiste vole la vedette Ă  Lula le rĂ©aliste. » Titre d’un article de Jacques Amalric, LibĂ©ration, 17 fĂ©vrier 2005. Chirac, Jacques : « Le discours antiĂ©lite de Jacques Chirac peut ĂȘtre qualifiĂ© de discours populiste. La dĂ©nonciation de Ila publiĂ© de nombreux. (Grasset, 2003), oĂč il rassemble dix ans de chroniques de Courrier International, et plus rĂ©cemment, il a prĂ©sentĂ© et commentĂ© Le Rapport de la CIA : Comment sera le monde en 2020 ? paru aux Editions Robert Laffont en 2005. jFva5X4. Imaginer le monde de 2050 est un exercice plus difficile car c’est encore loin. Pourtant, en 2020, les jeunes ont rĂ©ussi Ă  exprimer leurs idĂ©es pour une sociĂ©tĂ© totalement repensĂ©e oĂč la technologie se mĂȘle Ă  une Ă©conomie plus traditionnelle. Des dĂ©fis de taille En 2050, l’humanitĂ© devra faire face Ă  un dĂ©fi majeur vivre sur une planĂšte trĂšs peuplĂ©e. En effet, l’ONU estime que nous pourrions ĂȘtre 9,8 milliards d’habitants sur Terre dans moins de 30 ans. Pour faire face Ă  cette augmentation croissante de la population, il faudra apprendre Ă  cohabiter ; Ă©viter que les inĂ©galitĂ©s ne s’accentuent ; se partager les ressources ; s’adapter aux impacts du changement climatique sĂ©cheresses, fonte des glaces, inondations
 ; faire face Ă  de nouveaux enjeux sanitaires. Les jeunes interrogĂ©s sont conscients que les impacts nĂ©gatifs de l’ĂȘtre humain sur l’environnement prendront du temps Ă  s’effacer. C’est pourquoi ils veulent un changement de comportements immĂ©diat. Vers une Ă©conomie plus durable Une adaptation de nos modes de vie et de consommation est une des solutions imaginĂ©es pour faire face aux dĂ©fis de 2050. Il faudra repenser l’économie pour la rendre plus durable, en privilĂ©giant l’économie de proximitĂ© ; le retour au troc et aux Ă©changes ; les circuits courts ; la relocalisation de certaines productions ; le travail social et utile aux autres. Lire la transcription dĂ©taillĂ©e de l’infographie Une Ă©conomie plus durable, une mondialisation plus raisonnĂ©e » Toutes ces solutions envisagent de replacer l’humain au cƓur des Ă©changes et de l’économie. Un retour de la nature en ville Les jeunes se sont aussi questionnĂ©s sur l’habitat et ont imaginĂ© comment sera la vie en ville en 2050. Selon eux, des espaces naturels devront ĂȘtre prĂ©servĂ©s et protĂ©gĂ©s afin de laisser les espĂšces animales et vĂ©gĂ©tales les repeupler maintien de la biodiversitĂ©. Mais comment loger tout le monde si l’on n’étend pas les villes sur les campagnes ? GrĂące Ă  des villes Ă  la verticale ! Les villes du futur seront densifiĂ©es et construites Ă  la verticale. La nature y sera complĂštement intĂ©grĂ©e avec des bĂątiments vĂ©gĂ©talisĂ©s et des plantations sur les toits. La vĂ©gĂ©talisation de la ville rĂ©pond aussi Ă  une autre question comment nourrir ses habitants ? Avec l’agriculture urbaine, l’aquaponie ou encore les cultures hors sols, les citadins pourront produire leurs propres aliments. L’alimentation sera moins industrielle, plus naturelle et produite localement. Selon les jeunes, d’autres formes d’alimentation seraient possibles diminution de la consommation de viande ; une plus grande consommation de lĂ©gumes ; des nouvelles sortes d’aliments farine d’insectes
 Lire la transcription dĂ©taillĂ©e de l’infographie Urbanisation et retour Ă  la nature » Des avancĂ©es technologiques au service du social MĂȘme si les jeunes envisagent un retour Ă  l’agriculture traditionnelle, ils ne laissent pas de cĂŽtĂ© l’utilitĂ© des nouvelles technologies et imaginent un monde encore plus dĂ©pendant de ces outils. La robotisation permettrait d’accomplir de grandes choses, notamment dans le domaine mĂ©dical. Au niveau Ă©ducatif, les nouvelles technologies permettront une transformation des mĂ©thodes d’apprentissage plus de pratique et moins de thĂ©orie ; des salles de classes plus connectĂ©es ; un apprentissage plus personnalisĂ©. Pour les transports, les idĂ©es sont encore plus futuristes de plus en plus de transports hybrides ; des transports plus rapides et qui consommeront moins d’énergie ; moins d’avions en circulation dans le ciel ; moins de voitures en ville pour laisser plus d’espace aux vĂ©los. Lire la transcription dĂ©taillĂ©e de l’infographie Des avancĂ©es technologiques au service d’une sociĂ©tĂ© plus sobre » Un futur qui donne du sens Toutes les idĂ©es proposĂ©es ont un point commun redonner du sens Ă  nos sociĂ©tĂ©s et Ă  nos Ă©changes. Cela passe aussi par une meilleure connaissance du vivant apprendre Ă  Ă©couter la nature afin d’éveiller les consciences ; des autres se rattacher Ă  une communautĂ© et partager ensemble ; de soi par un dĂ©veloppement personnel et spirituel plus important. Le lien entre le social et l’environnement doit ĂȘtre trĂšs fort afin de respecter la planĂšte et ses habitants. DĂ©couvrir l’infographie reprenant toutes les idĂ©es des jeunes Annonçant avec une prĂ©cision stupĂ©fiante le monde dans lequel nous vivons - jusqu'Ă  la crise du coronavirus -, ce texte visionnaire nous donne Ă  la fois les clefs pour comprendre et les armes pour vaincre l'adversitĂ©. " Avec une crise financiĂšre sans prĂ©cĂ©dent, au moins de puis 1929, un rĂ©chauffement de la planĂšte unanimement constatĂ©, la crainte de bouleversements bio-politiques, dans des domaines aussi variĂ©s que l'eau, l'Ă©nergie, l'agriculture ou mĂȘme les Ă©pidĂ©mies, notre monde actuel n'incite pas toujours Ă  l'optimisme bĂ©at. Pourtant, une prospective plus approfondie et moins terrorisĂ©e nous ouvre de nombreuses pistes, par lesquelles l'HumanitĂ© du XXIe siĂšcle devrait quand mĂȘme parvenir Ă  dĂ©gager des solutions. Il s'agira surtout de rĂ©duire la part guerriĂšre de notre gĂ©opolitique au bĂ©nĂ©fice des Ă©changes, de l'innovation technologique ainsi que du dĂ©veloppement durable. Ces sont ces prospectives Ă  court et Ă  moyen terme qu'explorent Ă  nouveau les spĂ©cialistes du renseignement amĂ©ricain. Les experts qui ont travaillĂ© sur ce rapport pendant plusieurs annĂ©es et ont cette fois Ă©tendu considĂ©rablement le champ de leurs investigations, fournissent au prĂ©sident Obama une sorte de viatique pour entreprendre le changement planĂ©taire que tout le monde attend. " Alexandre Adler Terrorisme en retrait, glissement du pouvoir Ă©conomique de l'Occident Ă  l'Orient, pĂ©nurie d'eau, dĂ©clin des ressources en hydrocarbures, nouvelles technologies... Une fois de plus un document passionnant qui nous Ă©claire sur le monde qui nous attend dans les prochaines dĂ©cennies, et oĂč surtout, pour la premiĂšre fois, les amĂ©ricains reconnaissent qu'ils ne seront plus les maĂźtres du monde ! Dans sa prĂ©sentation, Alexandre Adler explore, en lever de rideau, les plus grands dangers gĂ©opolitiques actuels et suggĂšre quelques moyens de les prĂ©venir, pendant qu'il est encore temps. Quel serait le futur souhaitable pour nos enfants, et comment y parvenir ? 27 experts - Ă©conomistes, sociologues, scientifiques, philosophes, 
 se sont rĂ©unis dans ce livre, Ă  l’initiative du Cera, pour apporter leurs rĂ©flexions sur le monde d’aujourd’hui et proposer des actions concrĂštes pour rĂ©inventer celui de demain l’éducation et le formation, la citoyennetĂ©, entrepreneuriat, l’alimentation, l’ouverture au monde
 Car demain se dĂ©cide aujourd’hui ! Une conspiration bienveillante Conspirer, c’est respirer ensemble, ĂȘtre bienveillant c’est veiller Ă  bien ; alors que peut t’on rĂȘver de mieux que de respirer ensemble pour veiller Ă  bien. RĂȘver l’avenir, c’est associer nos convictions et nos rĂȘves, se nourrir de rencontres et d’opportunitĂ©s. RĂȘver l’avenir, c’est l’imaginer meilleur et renaitre de son passĂ© comme un greffon sur un arbre vigoureux mais sans fruits. La tradition est le pied mĂšre et le progrĂšs le greffon » disait Jean Yole. Le pied mĂšre nous encre dans la terre et le greffon comble nos dĂ©sirs. Conspirer pour dĂ©sirer Ă  bien, nous l’avons fait. Nous ne nous connaissions pas pour la plupart, deux choses simplement nous unissent tous nous avons Ă©crit une certaine vision de l’avenir et tous nous avons planchĂ©s au Centre d’échanges et de rĂ©flexion sur les questions d’Avenir Cera. Trois questions nous sont posĂ©es Si on vous donne raison, qu’est-ce qui aura changĂ© en 2035 ? Pouvez-vous nous emmener vers une vision futuriste mais proche ? Quelles dĂ©cisions prendre dĂšs 2016-2020 pour avancer ? 27 contributions pour dessiner demain Chacun de nous a trouvĂ© son pied mĂšre pour y poser son greffon. Au grĂ© de mes humeurs, au grĂ© de mes lectures et de ma curiositĂ©, je suis allĂ© chercher le pied mĂšre et de greffon de chacun. Alexandre Adler s’est penchĂ© sur la citĂ©, il nous dit comment le monde va se rĂ©-urbaniser, esquissant des projets globaux d’amĂ©nagement du territoire autour de grands pĂŽles qui se dessinent dĂ©jĂ . Corinne Lepage a trouvĂ© son pied mĂšre bien malade, il est fait de climat, d’éthique et de dĂ©mocratie ; elle veut nĂ©anmoins y poser un greffon de prise de conscience sans trop y croire. Mais si Corinne, on a dĂ©jĂ  vu des greffons qui s’accrochent sur peu de vie et prendre. Il faut pour cela que la colle soit bonne et qu’ils soient greffĂ©s avec amour. GaĂ«lle BohĂ© porte la bienveillance en Ă©tendard d’une sociĂ©tĂ© vivante et dynamique dont l’équilibre est maintenu par la prise de responsabilitĂ© de chacun. Utopie allez vous penser
 pas sur quand tout est devenu transparence nĂ©cessitant la confiance. Idriss Aberkane, mon ami Idriss, a trouvĂ© une Ă©cole ou on souffre pour apprendre, il veux y greffer une autre ou l’on s’épanouie en apprenant, il voit dans la nature une bibliothĂšque que nous devons lire plutĂŽt que de la bruler et qu’ainsi nous n’aurons plus Ă  choisir entre produire et prĂ©server l’environnement. Christian Recchia nous dit que nous sommes ce que nous mangeons, ce n’est pas nouveau mais il va nous falloir devenir raisonnable pour ne pas devenir ce que nous ne voulons pas ĂȘtre et il a bien raison. Trinh Xuan nous fait prendre de la hauteur et nous dit qu’il y a du sens Ă  vouloir confronter les vues de la science et des traditions spirituelles et mystiques sur le rĂ©el. C’est la spiritualitĂ© nous dit t’il qui saura faire concorder science et conscience et faire que nous puissions continuer Ă  connaitre l’extase, la passion, la beautĂ©, l’amour et la grĂące. Cet homme est un sage ! Pascal Perrineau a choisi le pied mĂšre de la dĂ©mocratie au cƓur de son hiver tout juste bon Ă  donner des fruits dĂ©structurĂ©s de populisme et de gouvernance Ă©litiste. Il veux y greffer une bouture plus saine donnant en un nouveau printemps des fruits regorgeant du sucre de la libertĂ© et de la confiance. Paul Dewandre nous propose d’instaurer des cours de masculin/fĂ©minin pour devenir bilingue et mieux se comprendre. IntĂ©ressant en effet de pouvoir rĂ©aliser que quand j’entends ma femme dire qu’elle n’a rien Ă  se mettre ce n’est pas que l’armoire est vide. S’aimer c’est se comprendre sans pour autant parler le mĂȘme langage, et oui bien sur, quand ça marche on a envie que ce soit pour la vie. Luc Guyau sait mieux que quiconque allier humanisme et luciditĂ©, il nous dit simplement qu’aucun greffon ne peut prendre sans la volontĂ© des hommes. Sa luciditĂ© n’a d’égal que son enthousiasme. Il apprend dans ce livre Ă  son petit fils Ă  greffer, c’est ce qu’il a fait avec nous depuis 40 ans. Je le connais depuis toujours et c’est pour ces raisons qu’il nous a entrainĂ© sur son chemin depuis que je suis agriculteur. Maximilien Brabec ne s’est pas vraiment risquĂ© Ă  poser un greffon, il a fait mieux il nous aide Ă  trouver les bons greffons, les bons ingrĂ©dients et surtout les valeurs Ă  mettre en Ɠuvre pour rĂ©ussir la greffe. Ces valeurs sont faites d’agilitĂ© mais aussi de cohĂ©rence, de collaboration mais aussi et peut-ĂȘtre surtout d’engagement. Pascal Perri pense que c’est l’ambition et non la peur qui doit nous guider pour sortir par le haut des impasses ou nous nous trouvons. Dans le monde tel qu’il le voit en 2035, nous allons vers l’homme augmentĂ©. La question est posĂ©e si ce ne sera que transhumanisme exaltant l’individualisme ou bien autre chose associant progrĂšs scientifique et spiritualitĂ© comme les deux faces d’une mĂȘme piĂšce. Alexandre Fedorovski, sur un vieux pied mĂšre qui lie la France et la Russie et qui a pris tant de coups voit se greffer une concorde nouvelle. Elle est l’Ɠuvre de la sociĂ©tĂ© civile, bien plus raisonnable et plus sensĂ©e que tous les gouvernants empĂȘtrĂ©s dans des idĂ©es reçues et des prĂ©jugĂ©s qui n’intĂ©ressent plus qu’eux. AgnĂšs Vernier MolignĂ© dans un rĂȘve un peu fou, mais sait t’on jamais, imagine un greffon de pragmatisme et d’efficacitĂ© prendre le pas sur la forĂȘt administrative d’ou on a retirĂ© tous les arbres morts et Ă©clairci les taillis pour redonner vie aux arbres de haute futaie portant fiĂšrement leurs greffons. Emmanuel Jaffenin voit lui dans la prison un bien mauvais greffon, comme une rĂ©miniscence de la peine de mort ou des supplices corporels ou l’on met Ă  l’écart des personne Ă  l’ombre de la dĂ©mocratie comme pour les ignorer et paisiblement vivre sans elles. Il prĂ©fĂšre l’humiliation dans sont sens Ă©tymologique qui consiste Ă  rendre humble suivi d’une rĂ©intĂ©gration. Il donne ainsi Ă  la punition un nouveau sens avec pour finalitĂ© de rĂ©intĂ©grer et pour moyen d’humilier prĂ©fĂ©rant la responsabilitĂ© Ă  la vengeance. HervĂ© SĂ©rieyx Ă  osĂ© greffĂ© sur le baobab de l’éducation nationale un greffon vigoureux il le fallait pour que la greffe prenne de l’éducation permanente. L’enseignement par discipline n’existe plus, mettant Descartes au rang des antiquitĂ©s lui prĂ©fĂ©rant la pensĂ©e complexe et la transdisciplinaritĂ© de Morin et Pascal. Les MOOCs et les rĂ©seaux d’échange ont pris le pas sur les cours magistraux. Robert Stahl sur le mĂȘme thĂšme en 2035 voit une formation libĂ©rĂ©e et crĂ©ative de la maternelle Ă  l’école primaire dans des Ă©tablissements Ă  taille humaine. Les enseignants et les Ă©lĂšves y travaillent en Ă©quipes pour dĂ©velopper des personnes et leurs talents. Le Colibri de Pierre Rabhi a fait Ă©cole et s’est propagĂ© dans toute la France, les Ă©tablissements sont devenus des lieux de vie associant formation et Ă©ducation. Bernard PĂštre s’est lui attaquĂ© au fonctionnement de la sociĂ©tĂ©. En 2035, le champs des possible est devenu immense, la singularitĂ© de chacun peut se dĂ©velopper mais chacun devra s’assumer quand je choisi, j’assume les consĂ©quences ». Le projet commun au centre des rapports humains et les relations entre les personnes se fait plus pour ce qu’elles sont que par ce qu’elles reprĂ©sentent. Xavier Fontanet avant de greffer pense que nos arbres doivent ĂȘtre assainis. Il n’y a pas de bons greffons qui prennent sur des arbres malades. Le cancer qui ronge nos arbres s’appelle la dette et les potions qu’il nous propose sont empreintes de bon sens j’allais dire paysan et il faudra boire la potion sans sucres mais qui redonne la forme. Marc HalĂ©vy s’est mis dans la peau de sa petite fille et elle n’est pas tendre avec nous. D’un doigt inquisiteur elle montre les rĂ©alitĂ©s que nous avons laissĂ©es Ă  sa gĂ©nĂ©ration. Peut-on lui donner tord ? Marc HalĂ©vy reprend pour finir la main pour nous dire que rien n’est perdu si nous acceptons de nous appliquer cette maxime Ils ont, mais sont t’ils ». Philippe Legorgus nous parle lui de la sĂ©curitĂ©, pour nous dire que sur ce sujet lĂ  aussi c’est dans l’ingĂ©niositĂ© et la crĂ©ativitĂ© que nous trouverons les solutions. La gestion des flux migratoires et le sens de l’accueil seront des remparts contre les terrorismes. Nous ne devons pas avoir peur, si tant est que nous faisons confiance aux associations bien autant qu’à un service public anonyme pour dĂ©passer le reflexe de crainte et de rejet. AndrĂ© Yves Portnoff a envie que les arbres de l’entreprise portent des fruits gorgĂ©s de jus plutĂŽt que simplement des fleurs. Pour cela il nous propose de greffer une vision Ă  long terme, de l’ambition, des valeurs elles sont faites d’altruisme, d’empathie, de bienveillance, de confiance, de transparence et que nous devrons jouer en Ă©quipe pour rĂ©ussir. Alain Simon nous ouvre le regard sur la gĂ©opolitique et la dĂ©finition des territoires gĂ©ographiques et des cartes. Loin d’ĂȘtre figĂ©s dans le temps comme nous pouvons parfois l’imaginer, les cartes du monde sont renouvelĂ©es en permanence par les hommes. Si ces cartes sont des pieds mĂšres, Alain Simon nous met en garde sur la qualitĂ© des greffons veillons toujours qu’ils ne donnent pas de fruits plus mauvais que la souche sur laquelle on va les greffer. Laurent Schwarz nous parle de mĂ©decine et de cancer, convaincu que nous sommes depuis des dĂ©cennies sur de mauvaises hypothĂšses faisant de façon plus ou moins dĂ©libĂ©rĂ©es le bonheur de la pharmacie avant de faire celui du malade, il nous propose de regarder ailleurs. C’est selon lui du cotĂ© du vieillissement qu’il faut aller chercher les causes et de lĂ  trouver les solutions, passionnant ! Eric de Montgolfier s’est projetĂ© en 2035 sous le chĂȘne de la justice pour y regarder tous les greffons que l’on a tenter d’y faire prendre. Tous n’ont pas pris, tous ne donnent pas de fruits, mais au fil des ans l’arbre perd ses bois mords, restant bien enracinĂ© pour servir l’intĂ©rĂȘt du plus grand nombre si ce n’est de tous. Jean Staune nous dĂ©montre que pour bien greffer un arbre et qu’il donne de bons fruits nous devons comprendre qu’il est composĂ© de matiĂšre et d’immatĂ©riel que chaque ĂȘtre humain est fait de chair et de spiritualitĂ©. L’ignorer et ne s’en tenir qu’a l’aspect matĂ©riel c’est ne voir qu’une face d’une mĂȘme piĂšce et prendre le risque de voir le trans-humanisme nous dĂ©truire. La dĂ©matĂ©rialisation de la transparence et bientĂŽt de la confiance vont nous en prĂ©server. Max Jean Zins voit dans l’Inde un laboratoire du monde. DiscrĂštement mais surement ce pays continent pourrait bien devenir un exemple. Sa politique non alignĂ©e lui donnent depuis longtemps force et respectabilitĂ©. Dans l’aire de coopĂ©ration maillĂ©e ou nous entrons, ce pays a tous les ingrĂ©dients pour comprendre avant tout le monde. Ce greffon, ils sont en capacitĂ© de le faire prendre s’ils rĂ©sistent dĂ©finitivement Ă  la tentation du greffon pervers de la consommation. HervĂ© Pillaud est revenu
 tiens, parler de moi Ă  la troisiĂšme personne, je n’avais encore jamais fait, attention danger ! Je suis revenu le 29 juillet 2035 dans les coteaux de la PitardiĂšre avec ma petite fille. Elle voulait que je lui dessine un Ageekulteur. J’ai essayĂ© mais en 2035 c’est bien souvent les petites filles qui en apprennent plus Ă  leur grand pĂšre que le contraire. VoilĂ  rĂ©sumĂ© ce qu’est cet ouvrage ou j’ai aimĂ© apporter ma contribution. Comme les termites bĂątissent leurs toits dans les forĂȘts d’Afriques nous avons esquissĂ© notre L’avenir c’est demain ! » sans chefs et sans architectes mais par une conspiration bienveillante. Chacun de nous a trouvĂ© son pied mĂšre pour y poser son greffon Sans vraiment le savoir nous avons su respirer ensemble pour veiller Ă  bien. En savoir plus site du Cera, centre d’échanges et de rĂ©flexion sur les questions d’avenir.